Votre article m’a immédiatement fait penser au livre très controversé d’Alexis Carrel « L’Homme cet inconnu ». Comme je l’ai lu il y a un quart de siècle, l’idée directrice qui m’est resté en mémoire est que le pêtit humain de basse-cour, élevé au grain, protégé contre lui-même, gagne en centimètres mais perd en résistances contrairement à celui qui doit combattre pour survivre et se priver. L’autre livre auquel votre texte m’a fait penser et qui n’a rien à voir est celui de Michel Montignac et plus particulièrement le chapitre où il parle du sucre.
Maintenant, tant que l’humain de basse-cours a du grain et se sens à l’abri, pourquoi réveillerait-il son instinct de survie ?
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