Passons sur la longue et complaisante autobiographie de Bleitrach, à qui je précise que sa vie et son âge me sont a priori indifférents. Je n’ai relevé que son communisme militant, qui éclaire utilement sa propagande, et son âge avancé, qui permet de se réjouir qu’une telle apologie de l’indéfendable en France provienne d’une personne d’une génération qui n’est, heureusement, plus aux commandes de l’histoire. Son âge vénérable ne m’inspire ni mépris ni respect. Camarade Bleitrach, la déférence pour les vieillards est une valeur bourgeoise...
Vous avez parfaitement raison, Massaliote, de relever l’insupportable aveu de la collaboration de cette dame avec ceux qui tuaient non seulement les pieds-noirs mais aussi nos soldats, pour l’essentiel des jeunes conscrits, et tous ceux parmi les Arabes qui refusaient la mainmise du terrorisme fellagah. Cette collaboration des porteurs de valises aurait dû être châtiée sévèrement et leur impunité ne constitue pas la moindre horreur du gaullisme.
Pour le reste et le fond, j’ai gentillement pris la peine de lui répondre sur Cuba dans les 100 premiers commentaires.
Vae victis !