Salut, Sisyphe, oui, la révolte, et sans espoir, pas de révolte ; d’où, peut-être, chez le philosophe-édulcorant-du-quotidien si bien-pensant, l’apologie du dé-s-espoir si souhaité par les conservateurs de ce monde en crise. Je rappelle que cette soupe du désespoir = non-espoir nous fut déjà servie par le même dans sa conférence « le bonheur désespérément ». Quant à son athéisme, pour ceux qui résistent et tiennent à ce qu’un chat soit appelé chat, il semble qu’ayant prié Dieu de sortir par la porte, il dorme désormais la fenêtre ouverte !