Le stress chez les cadres fait, en quelque sorte, partie du contrat, non ?... Objectifs, compétitivité, contrôle (des subalternes) etc. sont les piliers du vocabulaire du cadre.
Quand à « identifier les symptômes » il est difficile sinon impossible d’être juge et partie. Si c’était réalisable l’intéressé ne se retrouverait pas dans cette situation. Le stress est un sentiment et comme tel échappe facilement à l’auto-analyse.
Dialoguer avec ses collaborateurs... Lesquels ? Ceux à qui vous mettez la pression ? Ceux qui lorgnent votre place ? Le système ne favorise pas le dialogue, c’est le moins que l’on puisse dire...
Déléguer idem et en France particulièrement, où existe tout un échelon de chefs, sous-chefs, petits chefs,etc. sensés être en délégation et qui ne sont, bien souvent, que dans le contrôle les uns des autres. Chez beaucoup de nos voisins, cette hiérarchie est bien plus réduite, favorise le contact cadre/base et ça marche aussi bien !
Passons sur la pub pour Officeo et regardons en face les limites de l’AT (ou de la PNL, ou d’autres encore)
Le gros reproche fait à Berne, outre le côté manipulatoire, est d’adapter à sens unique, l’homme à son environnement. Quand cet environnement/système devient trop pesant il n’y a plus de techniques qui marchent.