D’après ce que j’en ai compris du Bancor tel que Keynes l’avait imaginé,
c’est la deuxième réponse qui se rapproche le plus de sa définition. Il est dommage que vous ne semblez pas croire à la vertu (du moins en théorie) du système de Keynes.
Et si le « Bancor » évoqué de plus en plus
aujourd’hui par certaines autorités - qui l’auront vidé au passage de son essence - conscientes que le système actuel
est devenu hors de contrôle et qu’il faut en changer, tient plutôt de la
première définition, c’est parce que les oligarchies
ont bien trop à perdre avec la seconde.
En cela, je vous rejoins sur votre conclusion : on change de système et on recommence en pire !