« A tort ou à raison je perçois le philosophe dans son essence comme une personne qui non seulement fuit le débat public parce qu’il serait vulgaire et superficiel mais n’est pas loin de considérer que s’y impliquer distingue le véritable philosophe du bateleur. Pour le premier il n’est de salut que dans une permanente confrontation avec soi quand le second n’éprouve que l’obsession de s’évader de soi pour rejoindre le tumulte des choses et »la lie« médiatique. »
Donc pour vous Socrate en questionnant et discutant à la ronde dans les rues d’Athènes n’était pas un philosophe et aurait mieux fait de se taire pour le devenir ? Vous n’êtes pas loin d’accuser Socrate d’être un agitateur et de corrompre la jeunesse...
Vos réflexions sont une indigne pitrerie M. Bilger ! Vous ne méritez ni honneur ni magistrature de la République Française.