« Pour être bien certaine de toucher l’oseille, la banque Wells Fargo, une des plus grosses du pays, a même inséré une clause selon laquelle les emprunteurs renoncent à toute poursuite si les titres de propriété s’avèrent bidons. »
Et oui, là, je suppose que cette clause contractuelle attaque directement le droit le plus élémentaire d’une démocratie, à savoir le droit d’accéder aux instances judiciaires.
Je connais un autre exemple américain où la cupidité atteint directement le droit à la liberté d’expression.
Bref, le slogan « greed is good » (la cupidité est bonne) se doit ad minima de s’arrêter à la constitution.
Car là, Wells Fargo et l’autre exemple du Centre Nord américain que je préfère garder anonyme est de l’ordre de l’anarcho-capitalisme, système abject où la loi du plus riche est la règle.