Il y a une théorie,défendue par les météorologues (de la m... quoi) qui s’appelle le « hotwater bottle effect) et qui explique très bien pourquoi le CO2 ne peut jouer, s’il en joue un, qu’un rôle tout à fait marginal.
Et dernièrement a été publié un »papier« sur le mécanisme des ouragans, assez novateur, qui a tout de suite soulevé une question intéressante, mais non résolue:pourquoi les modèles climatiques sont incapables de prendre en compte la condensation ?A ce stade, le débat n’est pas tranché, si cela change les résultats, ni de combien ?Egalement une étude tout à fait novatrice sur l’origine des vents,qui nous change un peu de la conception classique.
La sciences avance, à petits pas, et les conclusions du GIEC du dernier rapport commencent à faire vieux papier juste bon à emballer le poisson.
Je rappelle aux inconditionnels, que si déséquilibre il y a au niveau énergétique, la chaleur emmagasinée doit bien se trouver quelque part.Le seul instrument probablement fiable que l’on aie pour le moment(même les satellites ont des problèmes) pour mesurer cette quantité d’énergie c’est le réseau Argo.Et depuis 8 ans, il ne montre absolument rien,sinon peut-être ,mais on este dans le non mesurable, une légère baisse,et Trenberth, tel Indiana Johnes est toujours à la recherche de la chaleur perdue.
Et comme si cela ne suffisait pas, le niveau des océans est parfaitement stable(cf l’avis de Morner sur les estimations de hausse, c’est assez gratiné),mais en plus, une nouvelle étudeprétend prouver que les pompages dans les nappes »géologiques" participerait au moins à 8 mm de hausse globale,ce qui réduit d’autant la hausse prétendue.
Moi je veux bien écouter toutes les théories, mais si je les confronte avec le monde réel, je crois qu’il y a comme un problème.
Et la petite plage où je pataugeais enfant est toujours au même endroit,elle a pas bougé d’un iota.