Excellent, votre article de Slate, Pierre Ancery.
En ce qui concerne Dante, la non-reconnaissance de la transposition de La Divine Comédie est une leçon terrible et unique sur l’état d’autisme, d’incompétence et d’aveuglement de l’ensemble de la critique littéraire, totalement incapable de prendre la mesure de l’oeuvre qu’ils avaient entre les mains.
C’est comme si quelqu’un jugeait doctement la reprise des Ménines par Picasso, sans savoir ni imaginer un instant qu’il yavait eu un tableau peint trois cent ans plus tôt par Velasquez ! On en est là, hélas.
J’ai écrit une étude sur les rêves de La Divine Comédie dans l’Homme qui arrêta d’écrire.
Elle est publié sur le site des lecteurs de Nabe.
Nabe’s Dreams
L’étude de Dante n’est pas la seule manière d’aborder toutes les richesses du livre, mais elle est indispensable à la compréhension de ce roman.