Depuis quand de simples propos tenus entre salariés, que ce soit sur fessebouc, au bistrot, à la cafète, dans les chiottes, ou sur la voie publique, justifient-ils un licenciement ?
On a changé le code du travail ?
On est en RDA ?
Ceci n’est, ni plus ni moins, qu’un total abus de droit : l’avis des prud’hommes est tout simplement scandaleux et illégal, comme les licenciements.
Quant à cette merde de fesse-bouc, outil narcissique de surveillance bigbrotherien, si les imbéciles qui s’y répandent nuit et jour à propos de tout et de n’importe quoi, pouvaient enfin comprendre de quelle façon ils sont manipulés, et l’attaquaient en justice, là, ça commencerait à devenir intéressant...