L’auteur généralise peut être un peu : certains gosses aiment apprendre.
Par contre, il est certain que ça n’est pas la majorité (surtout vu les méthodes employées, et je ne parle pas des vieilles méthodes surannées, mais bien des méthodes toutes modernes, sans notes, à la mord-moi-le-noeud).
Et puis, on a tous eu des matières préférées... qui pouvaient d’ailleurs changer selon le prof qu’on avait...
Bref, le constat de l’auteur me semble plutôt lucide dans l’ensemble... et pourtant je suis loin d’être toujours d’accord avec lui (il fallait que cela soit dit).