Vous dites : « Il semble bien que contrairement à l’Europe et plus singulièrement à la France, l’Amérique soit enfin parvenue à la conclusion que seule la démocratie pouvait constituer un rempart contre l’ennemi public numéro 1 ».
Non, je crois que vous analysez le problème à l’envers.
La causalité est en réalité dans l’autre sens : pour les US, seul l’islamisme radical peut constituer un rempart à la démocratie qui grèverait les bénéfices qu’ils tirent des ressources naturelles de ces pays, grâce à la complicité des dictateurs qu’ils soutiennent.