@ Ariane.
« Couper la tête aux archontes », écrivez-vous. Sans en arriver là, ni même à leur couper ne serait-ce qu’une phalange, peut-être devrions-nous apprendre, en France, à ne pas réélire ceux qui ont failli, et a fortiori ceux qui ont commis des délits insupportables dans l’exercice d’un mandat : abus de bien sociaux, prise illégale d’intérêts, corruption, favoritisme népotique, etc...