En resumé le peuple égyptien est pris entre 2 feux d’un coté les « fidèles » à Moubarak (nervis + police secrète) et de l’autre les « frères musulmans » qui libèrent leurs coreligionnaires mélangés avec un peu de droits commun pour faire bonne mesure du genre assassins, violeurs etc... Cette valse mortelle a 3 temps ne va pas aider à la victoire de la démocratie. Moubarak risque désormais, c’est lui qui l’a voulu, d’être traité comme Ceauşescu, c’est à vomir.
Et qui a parlé du « profil bas » des frères musulmans ?c’est une blague de mauvais goût.