Il y a au moins deux manières d’être pauvre.
Est pauvre celui qui travaille du lever du jour au coucher du soleil, sans production de surplus.
C’est une antique manière qui ne sera bientôt plus qu’un souvenir.
La seconde est le travail aliéné. Le travail aliéné nait quand celui qui par violence ou ruse exige le tribut. À quoi d’autre pourrait servir le pouvoir ?
Intuitivement, les pauvres de l’aliénation étatique se méfient des trop belles paroles, des « demain on rase gratis ».
Appelons cela de l’expérience.