Bonjour Amada,
j’ai bien aimé votre premier article (rappelez-vous Argos). Celui-ci qui exploite la bonne métaphore de l’hydre ma’a beauxoup intéressé jusqu’à ce § : « Faire sortir l’Hydre de sa tanière. »
On peut selon moi, l’interpréter de deux façons. Soit positivement en le démasquant, par des interprétations, et c’est ce que font les grands auteurs (Chomsky, Naomi Klein, Lordon, etc.)., soit « négativement », en l’incitant à réagir et donc à se révéler : c’est ce qu’ont fait Assange, les Islandais et d’autres encore.
Dans un cas comme dans l’autre c’est un « travail de Sisyphe », s’il ne débouche pas sur une suite qui reste à inventer ou à découvrir. Une chose est sûre : l’hydre mourra un jour ! Il ne faut pas que l’humanité meure avec elle.