Votre sympathie pour Monsieur Strauss-Kahn, à la tête d’une institution qui a largement failli à assumer ses missions, ainsi que le caractère racoleur de votre publicité au bénéfice de ce providentiel Monsieur « X », qui travaillerait comme consultant en « affaires économiques internationales » ne laissent guère de doute quant à vos orientations politiques. La France a-t-elle besoin d’un énième apôtre du Capital ? Il n’y a plus grand-chose à prendre, à dilapider ou à voler.
En fait, peut-être vaudrait-il mieux que Monsieur X ne se présente pas.