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suumcuique suumcuique 10 mars 2011 19:37

Lorsqu’il met en lumière les réseaux qui noyautent la République, Alain Soral cible bien-sûr en particulier la franc-maçonnerie. Pour prendre le contrôle de la République, il aura d’abord fallu à ce réseau occulte soumettre l’Eglise.


C’est précisément ce que l’Eglise et la franc-maçonnerie veulent faire croire aux gens et c’est pour cela que le « crâne rasé » de Soral s’entend si bien avec les « barbus ».

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« La nouvelle doctrine humanitaire fut la « religion » des francs‑maçons. Celle‑ci a fourni jusqu’à aujourd’hui les fondements intellectuels d’une culture universelle ab­straite, point de départ de toutes les prédications de bon­heur égoïste. C’est elle qui a trouvé (dès 1740) le slogan politique des cent cinquante dernières années
« Liberté, égalité, fraternité », et donné naissance au concept de démocratie humaine, chaotique, destructrice des peuples.
Au début du XVIIIe siècle, des hommes qui considé­raient les querelles confessionnelles à l’intérieur de « la religion de l’amour » comme étant plus ou moins la cause des problèmes des peuples et nations, se réunirent à Londres. Dans une époque de brutalité, ils fondèrent une « association internationale pour l’humanité et la fraternité ». Puisque cette union ne reconnaissait que « l’homme », on ne faisait, apparemment, aucune diffé­rence raciale ou religieuse. « La maçonnerie est l’union du genre humain pour la propagation de principes de to­lérance et d’humanité, à l’application desquels le juif et le Turc peuvent prendre part autant que le chrétien ». Ce sont les termes mêmes de la constitution de 1722. Le concept d’humanité doit constituer le principe, le but et le contenu de la franc‑maçonnerie. « Elle est, dit le rituel franc‑maçon, plus vaste que toutes les églises, Etats et écoles, que toutes les conditions, peuples et nationalités, car elle s’étend jusqu’aux limites de l’humanité ». C’est ce que nous enseigne encore de nos jours la loge alle­mande. L’église romaine et la contre‑église franc-­maçonne sont tombées d’accord pour démolir toutes les barrières d’ordre spirituel ou physique. Toutes deux ras­semblent leurs partisans au nom de l’amour ou de l’hu­manité, au nom d’un universalisme sans frontières. Mais Rome exige une totale soumission, la subordination à l’intérieur de sa sphère (qui naturellement doit être le monde entier...), tandis que la contre‑église prêche la disparition totale des frontières. Elle fait des douleurs et joies de l’individu, de « l’homme », la mesure de son ju­gement, ce qui est à considérer comme la cause de la si­tuation actuelle, où seule la richesse de l’individu appa­raît comme le bien suprême de la démocratie et incarne la plus haute position sociale.
Cette conception atomistique du monde était, et est, la condition de la doctrine politique de la démocratie et de la thèse économique coercitive du libéralisme. Les puis­sances qui cherchent donc à relâcher tous liens politi­ques, nationaux et sociaux, devaient s’efforcer d’utiliser cette philosophie maçonnique, et, conséquence logique, la « ligue humanitaire > elle‑même. La juiverie interna­tionale s’infiltre instinctivement et consciemment dans les rouages de la franc‑maçonnerie. En fait, l’élément ra­cial de la ligue humanitaire aurait dû instinctivement provoquer la même répulsion que la tentative de la hié­rarchie catholique d’annihiler l’art germanique, mais il est facile de prouver que pendant que le Nordique se dé­fendait contre Rome, son propre frère, volontairement, lui décochait par derrière un coup mortel, comme Hoder, l’aveugle, tue, lui‑même, son frère Balder dans la mythologie nordique. La franc‑maçonnerie devint en Italie, en France et en Angleterre, une ligue politique et conduisit les révolutions démocratiques du XIXe siècle. Sa « conception du monde » sapait, année après année, les fondements de l’essence germanique. Aujourd’hui, nous voyons les agents affairés de la bourse internationa­le et du commerce mondial diriger presque partout la contre‑église, tout cela au nom de « l’humanité ». L’hypocrisie de ceux qui exploitent le monde moderne pour des raisons « humanitaires » est sans doute, plus vile que la tentative d’assujettissement qui au non de « l’amour chrétien » a répandu si souvent le trouble et le chaos en Europe. Grâce aux préoccupations « charitables » et à la doctrine égalitaire, chaque juif, chaque nègre, chaque mulâtre, a pu devenir citoyen à part entière d’un Etat européen et les établissements de luxe pour malades incurables et mentaux abondent ; au nom de l’humanitarisme, on considère le criminel récidi­viste comme un malheureux, sans tenir compte des inte­rêts de tout un peuple ; à la première occasion, on le re­lâche dans la société sans l’empêcher de se reproduire. Au nom de ce sentiment humanitaire et de la « liberté de l’esprit », les journalistes pornographiques et tout gredin sans honneur se voient autoriser à vendre de la littératu­re de bordel ; les nègres et les juifs peuvent se marier avec une Nordique et occuper des postes importants. Tout cela n’implique nullement une notion raciale de l’honneur, mais on a fait de l’activité la plus frauduleuse en bourse, une profession respectée parmi tant d’autres ; cette criminalité organisée, en frac et haut de forme déci­de aujourd’hui dans les conférences d’économie mondia­le et réunions d’experts, presque arbitrairement, de di­zaines d’années de corvées pour des peuples de millions de gens. »







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