Les statistiques données par l’auteur me font penser à ce bon mot de Churchill : « Je ne crois qu’aux statistiques que j’ai moi-même trafiquées ».
Le plus drôle est qu’au travers des chiffres présentés dans l’article, pourtant soigneusement choisis pour illustrer la thèse de l’auteur, on discerne quand même l’ampleur de la désindustrialisation.
Peut-être l’auteur pense-t-il qu’il n’y a pas encore assez de désindustrialisation ? Les financiers et les politiciens au pouvoir ont encore un effort à faire...