Kahn n’a pas son mot à dire sur cette question comme sur les autres. Si
les « supérieurs inconnus » qui ont propulsé Kahn au FMI ont décidé qu’il
doit se présenter aux présidentielles de 2012 pour contrer le seul parti
qui puisse empêcher que la France tombe au niveau de la Grèce, de
l’Irlande, du Portugal et, bientôt, de l’Espagne, il se couchera.
Dans
la guerre fratricide qui oppose les Ashkénazes aux Séfarades sur le sol français depuis quelques siècles déjà, Kahn, à moitié ashkénaze, à moitié séfarade, est le candidat idéal
de l’anti-Europe.