Nous sommes peut-être en la matière très influencés par notre propre vécu : Docdory parle de la discipline qu’il a connue au primaire avec parfois des coups de règle sur les doigts (bien que de la même génération, j’étais à l’étranger au primaire et je ne me souviens pas de ça). Personnellement, je crois n’avoir reçu qu’une baffe et aucune fessée, et j’ai tendance à penser qu’on peut éduquer sans violence, (j’ai d’ailleurs regretté les quelques tapes très jeune et deux claques, jugeant après coup que j’aurais pu m’en passer), alors qu’un autre qui aura connu baffes et fessées jugera (s’il s’en est bien sorti dans la vie) que ça ne lui a pas fait de mal et qu’il l’avait bien mérité - j’en connais des exemples dans ma famille. C’est un domaine où l’objectivité est difficile tant nous sommes marqués par notre éducation, qu’elle soit du style « Libres enfants de Summerhill » ou plutôt martinet.