La différence entre mettre son zizi dans la bouche d’une personne qui ne l’a pas demandé (DSK) et donner des sous à un jeune éphèbe thaïlandais pour recevoir le zizi dudit éphèbe dans son fondement (FM) - pardonnez-moi d’être un peu cru mais c’est pourtant de cela qu’il s’agit - paraît assez importante pour ne pas mélanger ces deux faits.
Du reste, le livre de Mitterrand avait été salué par la critique lors de sa sortie et ce n’est que lorsqu’il a été nommé ministre de Sarkozy qu’il a été traité de tous les noms. S’il ne s’était appelé Mitterrand et s’il était devenu ministre d’un gouvernement de gauche, on peut douter fortement que la réaction de la classe politico-médiatique ait été la même.
Sauf de la part du FN sans doute, jusqu’à ce que ce genre d’affaires le concerne de nouveau, comme lors de l’affaire Poulet-Dachary en août 95.