Ca claque.
Mais au fond, elle ou qui que ce soit d’autre, à partir du moment où une personne prend la parole publique plus de deux secondes par an, elle abuse de sa part de parole publique donc d’influence, elle mange sur la part des autres et ça crée du mainstream.
La situation des pays civilisés serait complètement différente et infiniment plus démocratique, si aucun de ses membre n’était autorisé à tribuner plus d’une minute au cours de sa vie.
Lorsque les accapareurs de parole ne disent que des platitudes, c’est déjà très ennuyeux mais pas trop grave. C’est lorsque ces abuseurs du micro prennent des positions caractérisées que ça marque gravement la Pensée du Corps Social qui se retrouve avec une personnalité composée des affirmations péremptoires et très autoritaires de 200 tribuns.