@ Luc Laurent Salvador
52 millisiverts par an correspondent environ à l’irradiation reçue au cours de 3 à 4 scanners ( ça dépend du nombre de coupes. )
Il faut dire que les tokyoïtes ne sont au sol que lorsqu’ils ne travaillent pas. Autrement , ils sont au moins 8 h par jour au travail et 8h par nuit dans leur appartement à dormir, soit peut être à une distance moyenne de 18 mètres du sol. Donc, si on fait une moyenne, l’irradiation diminue des deux tiers , peut être 15 milisieverts par an.
Même si l’on ne tient pas compte de cette pondération,l’augmentation du risque de cancer lié à la pratique de 3 ou 4 scanners par an pourrait être à peu près du même ordre que celle causée par un tabagisme de cinq ou dix cigarettes par jour ( au maximum ).
Nécessité faisant loi, je doute que les tokyoïtes décident en masse d’abandonner travail et logement, dont ils ont un besoin vital, dans le seul but d’éviter de courir un risque somme toute modéré.