Ce qui est dommage, et dommageable. Ce que vos lecteurs ne savent ,et probablement vous, non plus (quoi que), c’est que vous mentez, dès votre première phrase :
« Cette vieille centrale, [...] connue pour ses déboires à répétition, [...] lorsque 2 barres de combustible de 800 kg étaient restées accrochées au dessus du cœur du réacteur, menaçant pendant plusieurs semaines de s’écraser, se briser, déclenchant une éventuelle réaction nucléaire incontrôlée. »
Il n’y a nullement risque de réaction nucléaire incontrôlée. Les marges à la criticité (dues au bore et aux grappes de contrôle et d’arrêt) sont suffisament élevées pour qu’une déformation de géométrie ne fasse pas de retour en criticité.
Le risque est une rupture de tous les crayons d’un coup, ce qui provoquerait un dégagement des produit de fissions gazeux. Ceci pourrait entrainer une contamination des travailleurs dans le bâtiment réacteur. Le risque pour l’environnement est très réduit du fait de la filtration - très efficace - de l’air et de la mise en tampon le temps de la décroissance.
Bref, encore une fois (et c’est une habitude), vous avez tout faux ! Mais comme vous aimez bien l’obscurantisme...