La désignation de Mme Joly est une excellente nouvelle pour le futur candidat socialiste, quel qu’il soit. Au moins, il ne craindra pas la dispersion des voix au premier tour. Quant à EE-LV, c’est un sabordage de premier ordre. Si ce mouvement obtient plus de 2% des voix au premier tour de la présidentielle avec une candidate pareille - épouvantable accent schleuh, raide comme un piquet, postures ridiculement démagogiques qui vont le repousser dans la cour des petits avec le NPA de M. Poutou et, hélas, pour d’autres raisons, le MODEM - ce sera un miracle.
Finalement, le seul personnage qui aurait pu faire quelque chose de ce mouvement était Daniel Cohn-Bendit, mais il ne l’a pas voulu. Dommage pour eux.