qu’en fouillant dans les 1.500 pages du « mémoire » que le massacreur islamophobe d’Oslo a déposé sur Internet avant d’aller buter 92 personnes, je suis tombé sur un passage où il se plaint des « chasseurs de sorcières antiracistes » et du racisme anti-blanc - et il n’y a rien là, j’en suis d’accord, de très différent, sur le fond, de ce qui se publie chaque vendredi dans tel quotidien de chez nous, ou de ce qui se profère chaque matin à l’antenne de telle radio de notre périphérie ; mais l’intéressant tient à ce que, dans le cours de sa péroraison, le terroriste norvégien cite l’un de nos plus réputés penseurs de médias : le « french philosopher Alain Finkielkraut », qui « has warned that « the lofty idea of ’the war on racism’ is gradually turning into a hideously false ideology. And this anti-racism will be for the 21st century what Communism was for the 20th century : A source of violence » ». (Sébastien Fontenelle, là)