Ça va, les filles, on ne vous dérange pas ?
Ca papote, ça papote, on dirait les vieilles dames de Faizant, aigries, refoulées, langues de vipères...
On ne vous demande pas si DSK est un baiseur, à la limite on s’en fout, et ce n’est pas pour cette qualité ou ce défaut qu’on en voulait pour Président.
Des baiseurs, on en connait tous autour de nous, mais pas beaucoup qui pourraient faire un Président.
On voulait juste un Président qui ressemble à un Président, si ce n’est pas trop demander.
Avec une culture de Président.
Avec un langage de Président.
Avec une image de Président.
Avec des décisions de Président,
Pas un larbin aux ordres de tout ce qui porte une Roleix.
On ne vous demande pas de disserter oiseusement sur un passé révolu et non prouvé, mais de dire ce qui s’est passé ce jour -là, dans cette chambre-là, à cette heure-là, entre cet homme-là et cette femme-là.
Et cela, vous ne pouvez pas le faire, car vous n’en savez rien de rien, dussiez-vous en disserter 107 ans.
Vos refoulements et vos aigreurs de MLF attardées n’y changeront rien.
Ici, vous médisez, vous salissez, vous calomniez, vous détruisez, sur des intuitions, des suppositions, des croyances, mais aucune preuve.
Dieu sait que j’ai soutenu les mouvements d’émancipation de la femme, mais vous ne représentez pas ici la femme, mais la harpie de légende.
La femme telle que je la conçois est avant tout compréhension, tolérance, pardon, ouverture d’esprit, amour, en un mot.
Vous nous donnez ici l’image de l’exact contraire, et d’une mysandrie sans limite.
Quelles vengeances êtes-vous en train d’assouvir, Dieu seul le sait. Et vous-mêmes, bien sûr.
Pour quiconque se donne le vouloir et le temps de réfléchir, le complot est d’une évidence criante. Le point faible de la cible étant connu, il suffisait d’appuyer sue le bon bouton.
Vous faites ici le jeu de la CIA, des mondialistes, de tous ceux que vous devriez dénoncer, et qui se moquent de vous, car ils vous ont bien baisées.
Et avec votre consentement...
Il n’y avait qu’un espoir de contrer les banques, et c’était par celui qui les connaissait le mieux, de l’intérieur, et qui vous aurait surprises.
Et c’est pour cela qu’on l’a abattu en plein vol.
Au fond, malgré quelques doutes, vous le savez bien.
Ne criez pas victoire trop tôt pour autant.
Dès que DSK aura retrouvé sa liberté de parole, vous mesurerez l’étendue de votre erreur, et ce que vous considérez comme une victoire vous apparaitra comme une faute tragique.
Désolé de ne m’adresser qu’aux femmes, mais ce sujet de discussion semble éminemment lié au sexe, et pas du tout à l’objectivité, si j’en crois les pseudos.