@ hgo04
Il semblerait que vous n’ayez pas bien lu la réponse apportée par John Foster. L’UPR effectivement ne fera pas d’alliance avec un quelconque parti politique qui ne partage pas l’entièreté de ses analyses et de ses propositions.
Pouvez-nous dire quel autre parti politique aujourd’hui en France présente des analyses et solutions identiques à celles de François Asselineau et de l’UPR ? Et bien il n’y en a aucun autre. Il ne peut donc pas y avoir d’alliance.
Cela peut paraître effectivement très surprenant, dans un paysage politique français où les arrangements et petites combines entre partis et candidats sont fréquentes quand arrivent les élections. Et comme John Foster vous l’a déjà expliqué : « Nul doute que si l’UPR devait manquer à sa parole, ou devait voir sa probité mise à mal, l’UPR perdrait l’immense majorité de ses adhérents. »
Quant à savoir pour qui François Asselineau portera son élan au 2nd tour dans le cas d’un duel Sarkosi / Le Pen, j’ose présumer, et j’espère, qu’il donnera les mêmes consignes de vote qu’il avait données à ses adhérents lors du 2ème tour des dernières élections cantonales de mars 2011 :
Sachez bien cependant qu’à n’en pas douter François Asselineau, l’UPR, ses cadres et ses adhérents feront tout leur possible pour que les 500 signatures soient obtenues et que l’omerta qui pèse sur l’existence de l’Union Populaire Républicaine, ses analyses et ses solutions soit enfin levée.
PS : Pensez-vous encore vraiment que Mme Le Pen soit « anti Europe » ?
Cordialement