Non de dieu !
Les nauséabonds dont les idées puent seraient majoritaires ?
Et si en plus « »ceux qui sentent bon« (aujourd’hui au pouvoir) étaient les mêmes que ceux qui :
»en occultant leur bilan social catastrophique, en tentant de faire oublier que ces politiques ont baissé leur culotte devant les banquiers et les multinationales, bref devant le pouvoir du fric« .
et de plus, encore actuellement (ils sont encore au pouvoir et jusqu’à nouvel avis) :
»jouent sur des rouages de l’opinion« et désignent ceux qui puent comme »des boucs émissaires.«
Ce serait une vraie faillite intellectuelle et morale des »idées qui sentent bon".