Où l’on voit parfaitement à l’oeuvre - et des deux côtés (profiteurs et pigeons) - les trois ressorts principaux de l’humanité : cupidité, crédulité et panurgisme.
Certes, les affameurs sont à liquider, mais ils faut aussi être conscient qu’ils ne seraient pas ce qu’ils sont si nous n’étions pas ce que nous sommes.
L’organisation de la société doit prendre en compte les tares et faiblesses de l’humain afin d’empêcher les dérives telles que celles qu’on voit aujourd’hui. Si en tant qu’individu, nous ne sommes bien évidemment pas responsables du merdier actuel, en tant que brique de base de la société, nos comportements et nos valeurs personnelles ne sont pas nulles et sans conséquence sur le tout.
Tiens au fait, je viens de retrouver un Napoléon, un vrai, en or qui brille. Est-ce que ça intéresse quelqu’un ?