Il y a un bon moment que j’en suis persuadé, Salamanca :
dans la campagne qui s’annonce ce sont deux candidats intelligents, concrets et soucieux de l’intérêt général aussi bien que proches des préoccupations et des attentes populaires.
En prime, ces deux-là représentent une réelle alternative de moyens :
Le Pen en se débarrassant de l’euro,
Mélenchon en domptant la BCE
Pour un but commun, restaurer le pouvoir du politique sur le financier.
Mais quel politique ? En l’occurrence je me débarrasse volontiers de la finance pour la répartition et l’interdépendance sociale.
Je vote donc très volontiers pour Mélenchon.
PS : il paraît d’après les génies qui analysent l’opinion, que les français sont parfaitement d’accord avec la stupide règle d’or qui livre les États pieds et poings liés au bon vouloir des spéculateurs et de leurs mentors.
Or tant en naviguant sur le net qu’en discuitant ici ou là sur les marchés (aux légumes, ne pas confondre...) ce serait plutôt un rejet quasi unanime, au nom du maintien élémentaire d’une activité commerciale et ne serait-ce que l’entretien des équipements.
Pour paraphraser ce bon général Nenpeuplus :
Ils sont tous bêtes, mais ce sont nos chefs