Lucdavin

Entièrement d’accord avec le contenu de l’article ... Interdire le port de la burka, et du voile intégral dans son ensemble, c’est léser gravement les jeunes filles et les dames ayant librement choisi de se vêtir de la sorte ...

Imposer une injustice pour réparer une autre injustice procède, nu plus ni moins, de l’ineptie la plus pure.

Entièrement d’accord de libérer les jeunes filles et les dames à qui le port du voile est imposé par une autorité extérieure, mais de grâce, autrement qu’en portant atteinte au droit de celles qui ont librement choisi de le porter !!

Vous parlez d’avenir ? En effet, je pense que c’est une excellente idée !

N’oubliez jamais ceci : personne n’a le droit de décider de l’avenir d’un tiers, pour autant que ce tiers soit sain d’esprit.

Au nom du ciel, laissons à chacune et à chacun le droit de décider de son propre avenir et de la manière avec laquelle il souhaite s’intégrer dans la société ! Objectivement, en quoi le fait de porter le voile islamique est-il un obstacle à cette intégration ? Avez-vous pris la peine de regarder la politique adoptée par la Suède en la matière ?

De grâce, cessez d’avoir peur de celles et de ceux qui sont différents de nous !! Nous avons tant à nous apporter mutuellement !!

Certains sont passés maîtres dans l’art de faire naître et d’entretenir des phobies stupides ... A nous, partisans de la démocratie, soucieux de permettre à chacune et chacun de trouver une place au sein de la société, de démonter leurs arguments démafogues ! 

Le port du voile, quel qu’en soit le modèle, ressort de la pratique religieuse, et donc de la liberté religieuse, justement et légitimement élevée au rang de droit démocratique fondamental. Interdire le port du voile équivaut à bafouer ce droit.

Le port de la cagoule est un débat tout différent. De grâce, ne mêlons pas tout !!

Luc.

Merci, Madame, pour vos paroles ; elles réconfortent ! Je viens de m’en prendre plein la tronche, pour avoir simplement ouvert une porte sur « un autre possible » ...

C’est assez grave, ... Non pour moi, mais pour notre dociété, qui est bien malade, malade de ses peurs, malade de ses fausses certitudes, malade de ne pas pouvoir assumer ses différences ...

Merci encore. Respectueusement,