je vous remercie pour vos commentaires avisés. L’idée de cet article est de rappeler que la pratique ordinaire du journalisme nécessite du courage, de la ténacité et non de la paresse du quotidien. Quel beau métier. Vous vous doutez à qui j’associe ces qualités. Il est debout mais comme l’a écrit Aristote, la tempête est toujours belle depuis le rivage. Philippe Val est au chaud sur une plage de sable fin. Plus que d’un soutien symbolique (il n’est d’ailleurs pas un symbole), Denis Robert a besoin d’actes citoyens, de petits gestes qui s’inscrivent dans l’infra-ordinaire mais qui à force vont finir par faire réfléchir ceux qui attaquent sa personne (c’est très grave) et son travail (c’est de bonne guerre, bien qu’à ma connaissance, il n’y ait pas de bonne guerre). Rien ne peut justifier le harcèlement moral et physique sur une personne. Qu’il s’appelle ou non Denis Robert. Lui aussi mérite d’être libéré de tout cela.