@simazo
C’est malheureusement la vérité que ça te plaise ou non , Il suffit juste de regarder la prospérité des villes israéliennes , le camp de concentration de Gaza , le marasme des quartiers musulmans sunnites au Liban et tirer une conclusion que le Hamas et le Hezbollah son bel et bien une création israélienne pour mener à bien leurs desseins
Même Jordan Belfort Le loup de Wall street un escroc de la finance a dit que le bitcoin est une arnaque
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SUITE SUR LE TERRORISME Nous nous limiterons, dans ce sujet, au cas des services secrets américains dont le nombre s’élève à 16 agences, y compris la CIA est considérée comme étant la plus importante agence de renseignement au monde avec un budget annuel de 14,7 milliards de dollars[8].
A l’instar du KGB de l’ex-Union soviétique, la CIA a néanmoins besoin d’un budget beaucoup plus important que celui qui lui est officiellement accordé pour mener des opérations internationales de grande ampleur : déstabilisation de régimes et d’Etats[9] par l’intermédiaire d’une multitude de réseaux, des subventions et une rémunération d’agents directs et indirects, des campagnes de propagande menées d’une manière discrète et insidieuse, dans le cadre du « soft power » avec le concours d’organisations parallèles sans lien direct avec les services pour écarter tout soupçon…
Il arrive aussi aux services d’avoir recours à des méthodes détournées pour obtenir officiellement un budget plus important que celui qui leur est prévu par le Parlement ou le Gouvernement.
Ainsi, dans les années 90 et en vue de déstabiliser l’Irak et la Syrie, la CIA faisait voter un budget plus important au Congrès[10] en se faisant prévaloir de la nécessité de ces fonds pour alimenter des organisations chargées de ces opérations de déstabilisation. Mais, en réalité, ce n’était qu’une maigre partie de ces fonds qui était destinée à ces institutions. La majeure partie était transférée sur des comptes bancaires de sociétés-écrans appartenant à la CIA et dont la plupart a fixé leur siège social au Delaware. Ces fonds étaient destinés à mener, d’une manière beaucoup plus discrète, des opérations aussi bien dans ces pays (la Syrie et l’Irak) que dans d’autres.
Parallèlement à ces modes officiels de financement, les services secrets, y compris la CIA, ont recours à d’autres procédés pour se procurer des fonds et pour fructifier leurs actifs. Certaines méthodes sont illégales mais elles bénéficient d’une couverture pour occulter cet aspect, comme le trafic de drogue ou l’argent en provenance de ce trafic.
En effet, la plupart des services secrets du monde[11] ont recours à ce marché pour obtenir des fonds, d’une manière discrète, en dehors du regard des organes officiels des Etats. Durant la guerre du Vietnam, la CIA avait développé des réseaux pour expédier et distribuer d’énormes quantités d’héroïne fabriquées à partir de l’opium, en provenance du « Triangle d’Or », en Asie du Sud, vers les Etats-Unis et l’Europe. Il s’agit de la méthode du « syndicat Lansky », du nom de son instigateur, Meyer Lansky : une structure permettant à la CIA de diriger er de contrôler la récolte et la transformation de l’opium en héroïne[12], de l’acheminer[13] et la distribuer en Europe et aux Etats-Unis[14].
Par ailleurs, sans être impliqué directement dans la direction et la gestion du trafic, la CIA bénéficiait d’un financement en provenance de la drogue, en aidant et facilitant l’activité des réseaux de ce trafic, contre une rémunération au pourcentage[15]. Ce processus s’est en particulier développé durant la guerre des Contras en Amérique latine[16]. Par l’intermédiaire de structures compliquées et enchevêtrées de sociétés – écrans, la CIA fournissait notamment des avions-cargos aux trafiquants de drogue mais aussi leur permettait de blanchir l’argent en provenance de ce trafic. En 1998, le rapport Frédérick Hitz accabla l’agence de renseignement américaine. Il révéla notamment l’existence de liens entre les services américains, y compris la CIA, avec des trafiquants de drogue d’Amérique du Sud. Ceux sont les comptes bancaires révélés à l’occasion du scandale « Iran Gate » (ou « Iran-Contras ») sur lesquels était versé le prix de vente d’armes à l’Iran (qui était sous embargo américain à l’époque) qui ont permis de dévoiler ces opérations. Par ailleurs, l’Afghanistan avait également permis aux services américains d’obtenir des sommes exorbitantes nécessaires à leurs opérations.
En effet, la guerre d’Afghanistan[17] aurait coûté, officiellement, plus de six milliards de dollars[18], supportés à moitié par les Etats – Unis et l’Arabie saoudite[19]. Néanmoins, parallèlement à ce budget officiel, des sources occultes contribuèrent au financement aussi bien de cette guerre qu’à la mise en place des Talibans et, plus tard, d’Al Qaïda. Il s’agit du commerce de la drogue qui a resurgi dans cette région appelée « le croissant fertile » qui rapporte entre 100 et 200 milliards de dollars par an[20]. En effet, la région de l’Asie centrale constitue, parallèlement à ses réserves de pétrole, une plate-forme stratégique pour le commerce de la drogue, notamment de l’opium.
La production de l’héroïne qui était réduite en Afghanistan avant la guerre a repris, dans les années 90. Les territoires près de la frontière pakistano-afghane devinrent le principal fournisseur de l’héroïne sur le marché mondial[21]. Sous l’impulsion de la CIA, les Moujahidines donnèrent l’ordre aux paysans de cultiver de l’opium sur les parcelles qu’ils contrôlaient. Des laboratoires de fabrication de l’héroïne à partir de l’opium furent mis en place grâce à l’entremise d’hommes d’affaires et de dirigeants afghans avec la collaboration des services secrets, au Pakistan.
En 1995, le directeur des opération de la CIA en Afghanistan, Charles Cogan admit que « la CIA en Afghanistan avait sacrifié la guerre contre la drogue pour se consacrer à la guerre froide. (…) Notre mission principale était d’infliger le plus de dommages possible aux Soviétiques. Nous n’avions pas vraiment les ressources et le temps requis pour enquêter sur le commerce de la drogue ».
Ainsi donc, la production de l’opium avait augmenté de 15 fois, depuis le début de la guerre d’Afghanistan en 1979. Elle n’a cessé de s’accroître, bénéficiant de l’aide aussi bien des Talibans (avant qu’ils interdisent sa plantation en 2000, un an avant les attaques aux Etats-Unis[22]) que celle des combattants d’Oussama Ben Laden, dans une zone chaotique de non-droit.
Une fois traitée dans les laboratoires, l’héroïne était ensuite acheminée, par des réseaux, en Europe mais aussi aux Etats – Unis[23], bénéficiant d’une protection assurée par une coopération entre certaines branches des services secrets. Arrivée sur le marché, la drogue était distribuée et écoulée d’une manière très discrète, ne permettant pas de déterminer la tête des réseaux (système du syndicat Lansky[24] ou système dit des « arts clandestins »[25]).
Les bénéfices des ventes étaient[26] ensuite blanchis dans des comptes bancaires secrets. Certaines liquidités étaient déposées dans des coffres. D’autres étaient placées à la bourse de New York avec la complicité de certaines institutions financières. Une cascade de sociétés – écrans appartenant à la CIA, dont le siège social était situé notamment à Delaware, bénéficiaient de ces placements à la fois pour blanchir l’argent et gagner encore plus de dividendes d’une manière totalement légale et transparente. Les sommes provenant de ces montages servaient à alimenter les « budgets noirs » des services, en dehors des circuits légaux institutionnels[27] et échapper ainsi aux regards des parlementaires et des politiques, en assurant à leurs opérations le secret et la plus stricte discrétion, bien qu’ils aient parfois bénéficié de la complicité de certains politiques et de personnalités haut placées pour faciliter le transport, la distribution et la collecte des bénéfices provenant de la vente ou du commerce de la drogue. Ces opérations ont été révélées à l’occasion d’enquêtes judiciaires à l’instar du rapport d’inspection générale de la CIA[28] précité, établi en 1998. Ce dernier révéla des connexions entre la CIA et certaines institutions de l’appareil d’Etat américain[29], facilitant ces opérations ; notamment les liens avec des fabricants de la drogue en Amérique du sud, associant également des organisations humanitaires pour camoufler ce trafic[30].
Ces méthodes déjà connues car dévoilées à l’occasion d’enquêtes judiciaires ont été utilisées en Afghanistan où les services américains ont fourni non seulement une aide logistique mais également financière en Afghanistan, pour contrer certes les Soviétiques mais, au – delà de cet objectif, pour expérimenter davantage l’instrumentalisation de la religion à des fins politiques aussi bien de ce pays qu’en Europe de l’est[31] et dans d’autres pays de la planète. Ainsi, le commerce de la drogue en Asie centrale servit à financer également l’armée musulmane bosniaque, depuis 1990, ainsi que l’armée de libération du Kossovo (UCK).
Nerf secret de la guerre, ce commerce a été associé à d’autres sources de financement officiels mais également occultes, contribuant aussi bien à des opérations militaires qu’à une entreprise de propagande, mais aussi à la mise en place de groupes ou « mouvements » tels que « Al Qaïda ».
@Traditionnellement, le terrorisme est le recours à des actes d’une extrême violence et cruauté en vue d’asseoir un pouvoir politique, imposer une situation ou un projet politique. Cette notion a acquis cette signification depuis le régime de la Terreur, exercé en France durant la Révolution.
Deux éléments caractérisent le terrorisme : matériel et psychologique. C’est ce dernier qui lui permet d’arriver au résultat escompté. C’est la raison pour laquelle nous avons assisté à une évolution du terrorisme qui peut s’exercer désormais principalement voire uniquement par des moyens de pression psychologique sur la masse[1] afin de l’amadouer et de la maîtriser, en vue de réussir à bouleverser des situations. Par ailleurs, les opérations terroristes sont devenues de plus en plus violentes et spectaculaires, cherchant à bouleverser l’opinion publique par l’intermédiaire des médias. Ceux sont ces derniers qui contribuent à cet objectif en irritant, en faisant réagir et en orientant l’opinion par des images mais aussi en relayant à répétition et en mettant en valeur les actes matériels terroristes.
Nous assistons donc à une évolution permanente du terrorisme qui s’adapte à celle des médias, vecteur principal d l’exercice du pouvoir politique. A ce sujet, il convient d’ailleurs de distinguer les actes purement terroristes (la plupart du temps individuels, spontanés et peu, voire mal préparés) des opérations terroristes de grande ampleur, nécessitant une préparation logistique minutieuse et une planification médiatique, scrupuleusement étudiée pour atteindre l’objectif psychologique escompté. Ces opérations, faussement qualifiées d’« actes », secouent et façonnent l’opinion. Elles peuvent, de ce fait et à long terme, provoquer une situation où des actes spontanés, effectués par des individus incontrôlés, victimes de la manipulation encouragée notamment par la machine médiatique, se multiplient. Cela aboutit à une psychose et à une situation de chaotique de guerre.
Les opérations terroristes sont organisées et effectuées par des services secrets qui, comme leur nom l’indique, ont recours à des méthodes feutrées et secrètes. Cela implique la mise en place de divers réseaux qui, par leur complexité, collaborent ensemble sans nécessairement le savoir. Ces opérations ont pour objectif d’exécuter et de faire réussir des projets politiques non seulement édictés par les pouvoirs politiques ou les gouvernements, mais aussi par des multinationales politico-financières, des organisations voire des sociétés secrètes qui établissent ces projets dans le cadre de cercles de réflexion, rassemblant spécialistes et personnalités d’influence.
Les services secrets contribuent ainsi à l’exécution de cette ingénierie politique qui nécessite de fonds importants pour sa réalisation et sa réussite.
Nous nous tiendrons à ces aspects, autrement dit aux modes de financement des services secrets qui participent d’une manière confidentielle voire occulte à l’exécution de projets politiques.
@Arnaud Montebourg et financement qataris : Qui est derrière le Qatar ?
Si le Qatar accroît sa présence et son influence en France, et que son émir s’offre certaines de nos entreprises et certaines des plus belles demeures de notre patrimoine, chacun se doit de regarder au-delà des apparences. Les inquiets doivent savoir également que ses investissements se font à l’échelle mondiale, comme ceux de la Finance, que ce soit dans la banque, l’hôtellerie (Palaces), le luxe, le tourisme, l’immobilier et tout le reste, et ce, aussi bien en Suisse, qu’en Angleterre, qu’aux USA et qu’en Asie. Ce qui est déjà louche. Il est classé aujourd’hui parmi les dix pays les plus riches du monde. La première question pertinente est donc : Comment un tout petit pays arabe (grand comme la Corse, de 200 000 citoyens qataris, (le million restant est de la main-d’oeuvre étrangère) peut-il étendre à ce point ses pouvoirs et son influence dans le monde ? Mais surtout à la barbe et au nez de la Finance ou de la judéo-maçonnerie sioniste qui fait tomber régulièrement dans son antre et bombarder tous les pays arabo-musulmans qui tentent de lui résister ou de rivaliser. 279344702_695a6403da.jpgLe rachat du PSG par le Qatar a pourtant été pour les islamophobes la preuve que notre pays était bien en danger et que l‘islam et les islamistes allaient envahir la France. Si cette réflexion est certes hâtive, et dénuée de sens, elle devrait pourtant amener à savoir ensuite ce qu’est le Qatar, qui est derrière lui et pour qui travaille le Cheikh wahhabite Hamad ben Khalifa Al Thani, diplômé de l’Académie royale militaire Britannique.
Depuis 1945 et le Pacte US de Quincy ( Pétrole contre protection) il est aisé de comprendre qui a fini par faire la loi en Arabie et dans ces petits royaumes. Le Nationalisme arabe et l’Islam ont ainsi été remplacés au fil du temps par une allégeance au prophète Sam. Mais quand Ariel Sharon (ancien premier ministre israélien) disait le 3 octobre 2001 : « Nous, le peuple juif, contrôlons l’Amérique. Et les Américains le savent. », nous savons qui les contrôle.
Il est dit aussi, de manière officielle, qu’Al Thani se serait emparé du pouvoir en virant son père du trône. Quel sale gosse de riche ! Un coup d’état musclé puisque son père séjournait alors en Suisse pour compter ses tablettes de chocolat. Mais qui sait ce qui s’est réellement passé et qui sait qui contrôle le pays depuis. C’est vrai qu’il n’y a aucune nouvelle du roi déchu, nada. Sauf qu’après son passage en France, avec son fils cheikh Abdel Aziz, ancien ministre des Finances, viré lui aussi, il se serait exilé en Suisse ; certainement pour se shooter au Toblerone de désespoir, et peut-être a-t-il fait après une sérieuse crise de foi et une violente crise de foie depuis. 2659073312_7c83b5bfbe.jpgLe Qatar est un jeune pays crée en 1971, riche en pétrole et surtout en gaz liquéfié (le 3eme) qui se situe face à l’Iran et qui sert de tremplin et de base à la trinité maléfique anglo-israélo-américaine. Cette trinité réunie donne le Sionisme. Le Qatar sert donc de couverture pour effectuer des opérations militaires, de camp d’entrainement et très certainement de prête-nom pour effectuer des opérations financières dans le monde en toute discrétion, via des sociétés-écrans, quasiment impossible à remonter pour savoir qui se cache derrière.
Pour ceux qui auraient des doutes sur cette pétro-monarchie, lors de la guerre contre l’Irak, le pays a servi de base à l’état-major américain. Wikipédia : * Le 11 décembre 2002, est signé, avec les États-Unis, un accord de coopération militaire relatif à l’utilisation de la base aérienne d’Al-Eideïd par les forces américaines. * Le Qatar a envoyé en 2011 ses avions Mirage combattre les forces libyennes du colonel Kadhafi aux côtés des troupes occidentales. Le Qatar reste de ce fait un allié inconditionnel des États-Unis au Moyen-Orient. En décodé, il est une de ses bases miltaires et son instrument dans de nombreux domaines.
Ces indices supplémentaires devraient aussi éveiller les esprits : le Qatar a refusé d’intégrer les pays de l’EAU (Emirats arabes unis), ou l’Etat fédéral des émirats arabes unis, se faisant une sorte de pays neutre et indépendant. Son émir est aussi le promoteur de la chaîne - Al jazeera - reconnue pour diffuser de faux reportages et identifiée comme étant totalement pro-sioniste. De nombreux enquêteurs et journalistes affirment également que de nombreuses scènes libyennes et syriennes ont été et sont tournées dans des studios à Doha, permettant ainsi de diffuser de la propagande anti Kadhafi et anti Assad ( lien en fin d’article). Ce qui désigne le Qatar comme étant une des pièces maîtresses de l’empire pour jouer un rôle actif et déterminant dans les révolutions arabes, le renversement des gouvernements et des chefs d’état. En France son rôle consisterait, sans doute, à détourner l’attention du problème grandissant judéo-maçonnique sioniste pour cristalliser encore plus fortement celle de l’opinion sur l’Islam. A tel point que ce problème, devenu mondial, doit être détourné et qu’un nouveau truc vient de sortir en boucle, via JF Copé( liste juive sioniste). On vient nous parler d’un racisme anti-blanc, et ce, sous prétexte que dans une rixe trois rasés auraient été traités, eux les grands hommes Blanc, de sales français par un autre français au teint foncé, ou un sans-papiers, ou que deux ados boutonneux auraient été traités de la même façon en CP. Mais c’est quoi ce truc ? Qu’il existe un ressentiment post-colonial chez une petite minorité d’algériens, certainement, mais arriver à parler de racisme, le terme est totalement inadapté, politique et uniquement pervers pour manipuler l’opinion. 4475992645_7f757bff91.jpgAprès ce petit récapitulatif ceux qui aboient de peur devraient regarder qui est caché dans la caravane car la politique du Qatar est semble-t-il 100% pro-occidentale ou pro-sioniste et non panarabe. Mais quand le ministre du redressement productif Arnaud Montebourg applique les ordres et explique qu’il va signer la création d’un fonds d’au moins 100 millions d’euros, à capitaux qataris, afin d’aider les banlieues, effectivement, là, il y a de quoi s’inquiéter quand nous savons ici ce que ce pays est capable de faire. Tout cela en échange de 3 jeunes banlieusards( juifs maghrébins) qui feront leurs classes entre les universités de l’oncle Sam et celles de Doha( les mêmes puisque les USA ont leurs universités au Qatar) pour devenir de brillants chefs d‘entreprises français ou de bons et serviles politiques.
La France tombera certainement comme les autres pays, mais sous un autre faux prétexte, celui de l’islamisation, et l’esprit révolutionnaire sera détruit dans l’œuf si les imbéciles continue de regarder le doigt au lieu de regarder l’astre que la sage désigne. Et quand Benjamin Netanyahu dit ce qu’il pense des chrétiens sionistes : « De la racaille. Mais ne leur dite pas, nous avons besoin de tous les idiots utiles en ce moment », les idiots félons des gouvernements et des médias devraient réfléchir.
Si nous savons à ce jour, et de manière très documentée par des historiens et des spécialistes, que l’Histoire concernant les deux dernières guerres mondiales est totalement fausse, et que celles-ci ont été crées par les sionistes à l’aide de leurs instruments communistes et fascistes, en soutenant financièrement les alliés et les dits ennemis, ce même scénario se répète aujourd’hui avec d’autres mensonges sur le monde musulman pour soi-disant défendre la démocratie et la liberté des peuples. Quant à l’Europe, elle a été touchée depuis sa création et coule maintenant de plus en plus rapidement.
La troisième guerre mondiale a débuté à l’insu des peuples le 11/9/2001, mais cette fois le faux ennemi officiel est l’Islam, et surtout l’ensemble des Peuples du monde.
Daily Express du 24/3/1933 - le Congrès juif mondial déclare la guerre économique à l’Allemagne. Le 7/8/1933 Samuel Untermayer, président de la “World Jewish Economic Federation” dit dans le New-York Times : « la guerre que nous avons décidé de mener contre l’Allemagne est pour nous une guerre sainte. » AMEN !
1947 plan de partage :les Anglais finissent par accepter un plan de partage de la Palestine en deux états. Ce plan est refusé par les Etats arabes, les arabes palestiniens et la droite sioniste.
1922 : La Transjordanie (partie orientale du territoire mandataire britannique) devient un émirat autonome. Elle est Devant la montée du nazisme, de nombreux juifs d’Europe centrale continuent d’arriver en Palestine, apportant des capitaux et achetant de plus en plus de terres arabes.
Années 30 : les juifs de droite les plus extrémistes constituent les groupes Irgoun, Stern, etc : lutte armée d’abord contre les Anglais, puis contre les palestiniens.
1936 : Révolte des palestiniens. La société des nations envisage de partager la Palestine occidentale en deux : un état juif- un état arabe. Choqués par cette déclaration qui va à l’encontre de la promesse de 1916, les palestiniens commencent à développer une conscience nationale. La révolte durera jusqu’en 1939 et sera durement réprimée par l’armée britannique.
1939 : « livre blanc ». Limitation de l’immigration juive sur le territoire palestinien, suite à la révolte de 1936-39 et aux tensions internationales grandissantes, de peur que les palestiniens ne s’allient aux Turcs (alliés des Allemands).
1939- 44 : Le grand mufti de Jérusalem reste fidèle aux Turcs qui soutiennent les Allemands.
1945-1947 : les terroristes juifs de l’Irgoun, sous les ordres des futurs premiers ministres Israéliens Begin et Shamir, multiplient les attentats en Palestine. Une bombe explose à l’hôtel « King David », faisant plus d’une centaine de victimes. Répression des extrémistes sionistes par les Britanniques et interdiction de toute nouvelle immigration juive en Palestine.
1946 : La Transjordanie acquiert son indépendance et devient le Royaume de Jordanie.
1880 : des juifs russes créent le mouvement des « amants de Sion » qui prône le retour du peuple juif sur sa terre ancestrale
1896 : suite à l’affaire Dreyfus, le journaliste et dramaturge laïc Theodor Herz écrit un manifeste « l’état juif » dans lequel il explique aux juifs comment s’y prendre pour créer un état et une banque nationale chargée d’acquérir des terres. Il réunit des fonds pour le rachat de la Palestine, négocie avec le sultan turc, mais sans succès.
1909 : premier kibboutz en Palestine. Création d’un bourg qui deviendra Tel Aviv.
1916 : Promesse des Anglais aux arabes du Moyen Orient de créer un grand Etat arabe dont la Palestine fera partie.
1917 : Déclaration Balfour (ministre britannique des affaires étrangères) Promesse de l’établissement d’un foyer national juif (retour des juifs en Palestine). L’achat des terres par les juifs s’amplifie. Les Britanniques s’emparent de Jérusal
Erratum : En 1517 la Palestine est sous domination Ottomane ( Turks)
: La Palestine est sous domination ottomane (Turcs).
1700 : D’abord incluse dans la province de Damas (Empire ottoman), la Palestine devient une province distincte de l’Empire ottoman au début du 18 ème siècle, elle-même divisée en trois sous régions ( Acre, Naplouse et Jérusalem). Déclin des campagnes et des villes. Les puissances européennes apportent leur soutient à l’Empire ottoman au prix d’une ingérence de plus en plus grande dans les affaires intérieures. Aux côtés d’une paysannerie autarcique, les ports de Jaffa et Haïfa, la ville de Jérusalem connaissent un intense développement économique liés à l’exportation, aux pèlerinages et à l’installation de congrégations religieuses européennes.
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3. Naissance du sionisme, retour des juifs et conflit israélo-palestinien.
Le sionisme (« un Etat pour les juifs ») apparaît au 19 ème siècle principalement parmi les populations juives d’Europe de l’Est. Il s’agit à la base d’un mouvement essentiellement laïc, plutôt marxiste, voire franchement anti-religieux, favorable à un partage des terres avec les arabes (du moins selon l’idée des premiers sionistes…). Des évènements tels que les émeutes, pillages, meurtres contre les communautés juives (pogroms) qui ont lieu en Russie, Roumanie, etc. entre 1881 et 1921, l’affaire Dreyfus (un officier juif français condamné à tort pour espionnage), etc., renforceront l’idée d’un pays où les juifs ne seront plus rejetés, un pays à eux, et inciteront un nombre croissant de juifs à s’installer en Palestine. C’est d’abord dans un pays d’Amérique Latine puis d’Afrique que la communauté juive pensait s’installer avant de choisir la Palestine.
Voici quelques dates-clés de cette période fort dense et compliquée. Les dates et évènement les plus importants sont en gras. Afin de rester le plus objectifs possible, nous parlerons peu des nombreux évènements tragiques liés à la guerre et à l’occupation. Seuls les évènements de ce type les plus marquants et influençant l’histoire seront signalés.
Vers 1915 la population de Palestine était composée de 700.000 arabes et de 60.000 juifs. A ce jour ; Israël compte plus de 7 millions d’habitants (dont 20% d’anciens palestiniens), la Palestine (Cisjordanie et Gaza) compte plus de 4 millions d’habitants + plus de 400.000 colons israéliens. Il faut compter aussi plus de 3.000.000 de réfugiés palestiniens dans le monde.
1880 : des juifs russes créent le mouvement des « amants de Sion » qui prône le retour du peuple juif sur sa terre ancestrale
1896 : suite à l’affaire Dreyfus, le journaliste et dramaturge laïc Theodor Herzl écrit un manifeste « l’état juif » dans lequel il explique aux juifs comment s’y prendre pour créer un état et une banque nationale chargée d’acquérir des terres. Il réunit des fonds pour le rachat de la Palestine, négocie avec le sultan turc, mais sans succès.
1909 : premier kibboutz en Palestine. Création d’un bourg qui deviendra Tel Aviv.
1916 : Promesse des Anglais aux arabes du Moyen Orient de créer un grand Etat arabe dont la Palestine fera partie.
1917 : Déclaration Balfour (ministre britannique des affaires étrangères) Promesse de l’établissement d’un foyer national juif (retour des juifs en Palestine). L’achat des terres par les juifs s’amplifie. Les Britanniques s’emparent de Jérusalem et forcent l’Empire ottoman à la capitulation.
1920 : Partage de l’empire Ottoman Les Français et les Anglais se partagent l’Empire ottoman : La Palestine revient aux Anglais (elle comprenait à cette époque Israël, la Palestine et la Jordanie).
1922 : La Transjordanie (partie orientale du territoire mandataire britannique) devient un émirat autonome. Elle est soustraite à l’immigration juive.
1929 : Emeutes qui, suite à la rumeur d’un complot juif dont le but serait de s’emparer de l’Esplanade des mosquées, prennent des allures de pogrom anti-juif ; massacres à Hébron puis à Safed. Devant la montée du nazisme, de nombreux juifs d’Europe centrale continuent d’arriver en Palestine, apportant des capitaux et achetant de plus en plus de terres arabes.
Années 30 : les juifs de droite les plus extrémistes constituent les groupes Irgoun, Stern, etc : lutte armée d’abord contre les Anglais, puis contre les palestiniens.
1936 : Révolte des palestiniens. La société des nations envisage de partager la Palestine occidentale en deux : un état juif- un état arabe. Choqués par cette déclaration qui va à l’encontre de la promesse de 1916, les palestiniens commencent à développer une conscience nationale. La révolte durera jusqu’en 1939 et sera durement réprimée par l’armée britannique.
1939 : « livre blanc ». Limitation de l’immigration juive sur le territoire palestinien, suite à la révolte de 1936-39 et aux tensions internationales grandissantes, de peur que les palestiniens ne s’allient aux Turcs (alliés des Allemands).
1939- 44 : Le grand mufti de Jérusalem reste fidèle aux Turcs qui soutiennent les Allemands.
1945-1947 : les terroristes juifs de l’Irgoun, sous les ordres des futurs premiers ministres Israéliens Begin et Shamir, multiplient les attentats en Palestine. Une bombe explose à l’hôtel « King David », faisant plus d’une centaine de victimes. Répression des extrémistes sionistes par les Britanniques et interdiction de toute nouvelle immigration juive en Palestine.
1946 : La Transjordanie acquiert son indépendance et devient le Royaume de Jordanie.
1947 : Plan de partage Le monde qui a découvert l’horreur des camps de concentration s’indigne de ce que les Britanniques refusent l’accès à la Palestine aux survivant de l’Holocauste. Episode de l’Exodus : un navire de plusieurs milliers de survivants juifs est refoulé à Haifa vers l’Europe par les Britanniques. L’impact de cet évènement est immense dans l’opinion mondiale et les Anglais finissent par accepter un plan de partage de la Palestine en deux états. Ce plan est refusé par les Etats arabes, les arabes palestiniens et la droite sioniste.
1948 : Etat d’Israël et guerre israélo-arabe Amplification des affrontements entre les communautés. Le 14 mai à minuit, 8 heures avant l’expiration du mandat britannique, David Ben Gourion proclame l’indépendance de l’Etat d’Israël. Actions des terroristes israéliens de l’Irgoun (massacre de 254 habitants civils du village arabe de Deir-Yassin, etc.). Guerre israélo-arabe. Ces tueries et la guerre israélo-arabe déclenche un vent de panique chez les populations arabes qui fuient leurs villages. Plus de 700.000 arabes se réfugient dans la bande de Gaza, la Cisjordanie, au Liban, en Syrie et en Jordanie.
1949 : Fin de la première guerre israélo-arabe.
Israël a conquit 78% de la Palestine. Jérusalem est proclamée capitale (non reconnue comme capitale par les Etats étrangers qui reconnaissent uniquement Tel Aviv).
La Cisjordanie passe sous domination jordanienne. La bande de Gaza est sous domination égyptienne.
1948-1952 : Immigration en masse de juifs des pays arabes (Egypte, Yémen, Liban, Irak, Maroc et Tunisie) et d’Europe. Près de 700.000 nouveaux immigrés.
1950 : Les années 50 voient d’une part la consolidation de l’Etat d’Israël : de nombreuses villes juives sont créées, mise en valeur des kibboutz,etc., d’autre part l’amélioration des liens avec la communauté internationale, en particulier avec la France et Les Etats-Unis. Les expulsions de Palestiniens continuent.
Historique Proche-Orient Voici quelques grandes lignes sur l’histoire de la région.
Il s’agit d’une approche subjective présentant uniquement quelques éléments de trois grandes périodes, sous trois éclairages différents :
1. L’histoire des Hébreux en Palestine/Israël (-1.850 à 70/135), vue sous l’angle du peuple hébreu.
2. La Palestine pendant la période d’exil des juifs (70/135 à fin du 19 ème siècle)
3. Naissance du sionisme, le retour des juifs en Palestine, et le conflit israélo-palestinien (milieu 19 ème siècle à nos jours).
Plus l’historique remonte dans le temps, plus les données sont issues de sources telles que la bible, les dates pouvant varier d’une source à l’autre ; plus le temps avance plus les sources historiques sont pertinentes. Donc….il était une fois……
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1. Bref historique du peuple hébreu en Palestine/Israël
Les nouveaux historiens israéliens remettent en question l’histoire de la Bible et pensent que les hébreux ont toujours vécu en Palestine... Voici la version de la bible :
- 1850 : Abraham, berger, patriarche commun aux trois grandes religions monothéistes (Judaïsme, Christianisme, Islam), originaire de Mésopotamie (l’actuel Irak), vient s’installer en Canaan, à Hébron (Palestine actuelle) sur l’ordre de Dieu. Après la mort d’Abraham, son clan finit par s’installer en Egypte (notamment suite à de nombreuses famines) où leurs descendants sont réduits en esclavage.
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- 1250 : Moïse, un juif ayant reçu une éducation égyptienne, conduit les Hébreux hors d’Egypte.
- 1200 : Conquête du pays de Canaan.
- 1100 : En cas de guerre, les différentes tribus du peuple hébreu s’unissent sous le commandement d’un chef commun (désigné sous le nom de Juge) dont le pouvoir est provisoire.
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- 1030 : Une union durable sous la conduite d’un chef définitif devient nécessaire. Instauration de la royauté. Premier roi d’Israël : Saul.
- 1010 : David est sacré roi. Brillant chef de guerre, il chasse définitivement les Philistins, élargit les frontières du pays et fait de Jérusalem la capitale du royaume d’Israël. Son règne est considéré comme celui d’un âge d’or.
- 970 : Règne de Salomon. Il donne à l’état une véritable structure et entreprend la construction d’un Temple dédié à Yaveh. C’est le premier Temple, lieu hautement important pour le peuple juif qui aujourd’hui encore pleure sa destruction (en -586)
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- 930 : Division du royaume d’Israël en deux royaumes : Le royaume d’Israël (capitale : Samarie) Le royaume de Juda (capitale : Jérusalem)
- 721 : Fin du royaume d’Israël, conquis par les Assyriens.
- 586 : Le royaume de Juda disparaît, conquis par les Babyloniens. Nabuchodonosor détruit Jérusalem et le premier Temple, les juifs (l’élite) partent en captivité, d’autres trouvent refuge dans les pays limitrophes. C’est le premier exil du peuple hébreu.
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- 538 : Domination perse. Les juifs sont autorisés à revenir à Jérusalem, mais tous ne reviennent pas : début de la diaspora juive. Période de cohabitation bonne avec une certaine autonomie religieuse, politique et financière des hébreux.
- 520 : Construction du second Temple (dont le mur des lamentations est une partie)
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- 333 : Domination grecque (Jérusalem est appelée Antioche). Cohabitation d’abord heureuse, puis difficile, révolte des Maccabées, puis les droits juifs sont à nouveau reconnus.
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- 63 : Domination romaine. Pompée entre à Jérusalem. Hérode, un arabe judaïsé est nommé roi de Judée, il restaure et consolide le second Temple. A sa mort la Palestine est divisée en quatre provinces romaines.
0 : Naissance de Jésus.
30 ou 33 : Mort de Jésus.
66 : Révolte juive contre le pouvoir romain. Les Romains gagnent.
70 : Le second temple est détruit par Titus. Jérusalem est interdite aux juifs.
132 : Nouvelle révolte juive.
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135 : La Judée est rebaptisée Palestine par les Romains. Les juifs sont définitivement chassés par les Romains. Second exil, à partir de cette date, les juifs vivront en diaspora jusqu’à la fin du 19ème siècle (plus 1800 ans d’exil jusqu’à la création officielle en 1948 de l’Etat d’Israël).
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2. La Palestine pendant la diaspora des juifs.
Les nouveaux historiens israéliens remettent en question la diaspora juive. Ils pensent que la majorité des juifs sont restés en Palestine, et que beaucoup de monde hors Palestine se serait convertis au judaïsme. La diaspora juive serait issue de ces conversions.
333 : Avec la conversion de l’empereur Constantin, le christianisme devient la religion de l’empire romain. Les premiers et nombreux pèlerins chrétiens affluent vers Jérusalem. La Palestine devient chrétienne.
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614 : Les Perses envahissent la Palestine.
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636 : Les arabes musulmans conquièrent la région. Conversion progressive à l’Islam (mais liberté de culte), arabisation linguistique.
710 : Les musulmans érigent le Dôme du rocher à la place de l’ancien Temple.
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1070 : Les Turcs Seldjoukides prennent Jérusalem.
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1099 : Les croisés prennent Jérusalem (avec eux : massacres, viols, cannibalisme, destructions, pas de liberté de cultes, etc.). Nombreuses guerres de conquête (croisés) et de reconquête (arabes).
1187 : Saladin, kurde musulman, reprend Jérusalem et en partie la Palestine.
1229 : Les croisés reprennent Jérusalem
1244 : Les arabes reprennent Jérusalem
1291 : Fin des croisades et chute définitive « du royaume latin de Jérusalem ». La Palestine est à nouveau arabe musulmane (Mamelouks) Invasions mongoles
C’est évident que le Hamas est une création israélienne via l’Iran et le Qatar
Israël veut sauver le Hamas
L’État hébreu s’active en secret pour éviter que le mouvement islamiste palestinien ne sombre économiquement et politiquement dans la bande de Gaza http://www.lepoint.fr/monde/israel-veut-sauver-le-hamas-22-06-2015-1938908_24.php
C sont toujours les mêmes derrière ces grosses arnaques
Très controversée, cette monnaie est devenue populaire dans plusieurs pays tandis que d’autres tentent de l’interdire.
Les bitcoins sont soupçonnés de favoriser le blanchiment d’argent.
La société Bitbox, filiale israélienne de la société américaine Robocoin Bitcoin
Le premier distributeur automatique de la monnaie virtuelle bitcoin a été inauguré mercredi à Tel-Aviv, selon l’agence courtiers israélienne Bitbox, à l’origine de ce projet.
Ce sont certainement les israéliens qui sont derrière cette arnaque du bit coin coin
Ils vont empocher un gros magot comme d’habitude
Si subir une guerre d’extermination qui fait 2000 morts palestiniens tous les 3 ou 4 ans et qu’il y en a une qui va commencer bientot, si avoir une colonisation qui s’étend tous les jours, vivre dans une prison à ciel ouvert, avec des dizaines de morts presque tous les jours alors que les villes israéliennes sont toujours plus florissantes et que les plages de Tel-Aviv sont bondées de touristes, si tout cela, c’est etre aidé, alors on n’a pas la meme conception de l’aide !
Tous ces gens et ces groupes sont alliés d’Israël et des occidentaux et mènent avec eux l’extermination des musulmans sunnites. Les Palestiniens ont fait rentrer le loup dans la bergerie comme Poutine en Syrie D’ailleurs, regardeà bien le Liban : les zones chrétiennes vivent en paix et sont florissantes (on dirait meme Paris) alors que les zones sunnites sont ravagées par la guerre. Explique-moi alors à quoi servent le Hezbollah et le Hamas, si ce n’est à détruire les musulmans sunnites et à les plonger dans le marasme ! Quand on voit que l’agent du Mossad qu’est Soral soutient le Hezbollah sur son site crypto-sioniste, on en conclut que le Hezbollah est allié avec Israel. Arretez d’etre naifs ! C’est à cause de cette naiveté que les pays arabes sont en train de sombrer !
@OMAR
Le Hezbollah est iranien financé aussi par le Qatar
Ce qui explique le soutien de l’agent du Mossad Soral sur ER Tel Aviv car le Hezbollah massacre principalement musulmans sunnites
.Justement le Hamas prépare la prochaine guerre qui va être sanglante. Ils vont faire comme d’habitude : envoyer une petite roquette sur un champ en « Israel » (qui ne fera aucun dégat, comme d’habitude). Israel répondra par un génocide des populations locales palestiniennes (milliers de morts arrosés au phosphore blanc). Le Hezbollah prépare lui sa guerre au Liban pour massacrer des musulmans sunnites...tout bénéf’ pour Israel qui a placé tous ses pions, en Afrique du Nord ou Moyen Orient. Ce sont des juifs arabes ou des chiites dans ces pays, ainsi que des pions en Afrique Noire. Par exemple, Bachar Al Assad, un chiite allié d’Israel...comme lui, tous ces pions vont se retourner contre leurs peuples respectifs pour massacrer les sunnites. Nous aussi nous avons nos imposteurs...Soral, Dieudonné, Selim Laibi, Panamza, autant d’agents qui travaillent pour Israel et se font passer pour des anti-système. L’agent du Mossad Soral a même son actualité qui est corrélée aux dates d’attentat.
@Les frères musulmans sont nés en 1928 et ces frères là n’ont rien à voir avec ceux d’aujourd’hui. Ils n’ont plus les mêmes objectifs que ceux créés par le grand père de Tariq Ramadan, qui voulaient se libérer du joug des britanniques. A présent, cette organisation n’existe plus à mon avis...Si tant est qu’elle existe encore, elle doit rester financée par le Qatar, les USA et Israël essentiellement qui s’en servent quand ils en ont besoin pour faire des prêches virulents quand ça les arrange. Comme Qaradawi par exemple. Même Tariq Ramadan est un imposteur et agent des services israéliens....Il est favorable à l’homosexualité, le transgenre et compagnie. Il est adepte d’un islam qui n’en est pas un vu que d’après beaucoup de musulmans, l’homosexualité est bannie dans l’islam. Il faut juste savoir écouter son discours, il est très ambivalent.
@Haltausquetch
Le but de le reconnaissance de Jérusalem est de détruire la mosquée d’Al Qods afin de faire construire leur temple de Salomon
Le compagnonnage et la franc-maçonnerie intègrent dans leurs rituels de nombreuses références au Temple de Salomon : le temple maçonnique en est parfois vu comme une reproduction symbolique.
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