Je ne vous demande pas d’y venir. Merci pour ces pages de culture, quel fantastique économiste êtes vous ! Sans doute le meilleur de tous les temps puisque vous êtes capable de juger les autres de votre hauteur.
Faites moi signe lorsque vous obtiendrez le prix nobel !
merci encore !
Antoineray
Relisez les commentaires, je ne connais pas les raisons de votre frustration, je n’ai jamais dit qu’elle venais de Sciences Po.
Je le confirme encore, votre prétention est immense, s’autoriser à voter un article en est la marque !
C’est plutôt drôle mais encore ici, vous ne répondez pas à la plupart de mes arguments mais essayez plutôt de détourner la conversation. Enfin, je ne vous en veux pas.
Ne vous inquiétez pas, je vous laisse être le boeuf, parfois la frustration vient du manque de confiance en soi, ne vous inquiétez pas, c’est vous le meilleur !
Excusez-moi je n’avais pas vu votre premier commentaire qui était aussi méchant mais avait le mérite d’être argumenté !
Reprenons vos critiques du début (je passerai tout ce qui est de votre frustration personnelle, qui sort de je ne sais où, à critiquer Sciences Po et le fait que je sois un étudiant).
Je pense que vous avez bien mal lu ou compri mon article ! Où ai-je parlé d’URSS, de nationalisation des supers et hyper, de fixation de prix (c’est ça l’URSS). Je veux parler de concurrence, de VRAIE concurrence, et c’est justement pour cela que je propose, non pas un "magazin d’Etat" comme vous le dites mais une enseigne publique qui fonctionnerais comme une marque privée mais resterais hors du cartel.
Un oligopole peut être une bonne chose. Où avez-vous lu un propos contraire à cela dans mon article ? Bien au contraire, je demande à ce que cette enseigne publique rende l’oligopole transparent, et donc efficace. Je ne demande pas une concurrence de multiples acteurs atomiques, mais accepte l’oligopole à condition qu’il soit concurrentiel comme vous le dites à juste titre : un oligopole n’est pas mauvais en soit, il le devient lorsque les entreprises en question mettent en place un cartel, une entente, et cela, vous pouvez refuser de le voir, mais c’est exactement ce qui se passe dans le marché de la grande distribution. Joseph Stiglitz lui-même (prix nobel d’économie en 2001) décrit ce phénomène oligopolistique dans le secteur de la grande distribution alors, à moins que vous soyez un meilleur économiste que lui, ne me dites pas que je n’y connais rien !
Vous expliquez que je n’ai pas pris en compte le facteur géographique, enfin un argument contre mon article plutôt que contre moi (je ne sais pas ce que je vous ai fais, on se connait ?). Mais monsieur (ou madame), le facteur géographique ne fait que renforcer le fait que l’oligopole soit de forme monopolistique ! Vous parlez de 4 ou 5 distributeurs pour 30 000 habitants, évidemment, cela est ridicule et vous avez raison de le signaler, mais dans les faits, il est généralement vrai que dans une zone de 10km à la ronde, les français ont plusieurs choix de supermarchés qui pratiquent tous les mêmes prix à peu de choses près.
Vous comprendrez que je n’argumente pas trop sur votre comparaison des bénéfices d’une banque et d’un hypermarché, alors que le rôle de l’un est de gérer de l’argent et du capital mobile, alors que l’autre travail sur un capital fixe. Evidemment, les chiffres ne sont pas les mêmes mais cela n’a rien à voir avec le fait que la grande distribution soit rentable ou non.
J’aimerais savoir d’où vous tenez ces chiffres des marges des marques de la grande distribution, et je pourrai alors répondre à cette autre critique qui est facilement fondée sur des chiffres qui peuvent être issus de votre imagination.
A la vue de vos commentaires, je pense que c’est vous qui manquez de culture économique monsieur (ou madame). Je trouve cela déplorable d’attaquer les gens de la sorte, soyez d’accord, pas d’accord, débatons intelligemment, mais casser pour casser, voilà un bien faible coup ! Qui êtes-vous pour juger et mettre des notes aux articles que vous lisez ? Attention aux chevilles...Que la grenouille se souvienne qu’elle ne doit pas trop essayer d’être aussi grosse que le boeuf !
Enfin, je précise, une nouvelle fois, que cette proposition d’enseigne publique que je fais est de l’ordre du théorique, je ne suis pas rêveur et sais que ce genre de projet est quasiment impossible à mettre en oeuvre. Je dis simplement que, en tant que défenseur de la concurrence de marché, cette proposition serait une des meilleures afin de mettre en place une concurrence dans un secteur qui en manque cruellement.
Bien à vous,
Antoineray
Excusez-moi je n’avais pas vu votre premier commentaire qui était aussi méchant mais avait le mérite d’être argumenté !
Reprenons vos critiques du début (je passerai tout ce qui est de votre frustration personnelle, qui sort de je ne sais où, à critiquer Sciences Po et le fait que je sois un étudiant).
Je pense que vous avez bien mal lu ou compri mon article ! Où ai-je parlé d’URSS, de nationalisation des supers et hyper, de fixation de prix (c’est ça l’URSS). Je veux parler de concurrence, de VRAIE concurrence, et c’est justement pour cela que je propose, non pas un "magazin d’Etat" comme vous le dites mais une enseigne publique qui fonctionnerais comme une marque privée mais resterais hors du cartel.
Un oligopole peut être une bonne chose. Où avez-vous lu un propos contraire à cela dans mon article ? Bien au contraire, je demande à ce que cette enseigne publique rende l’oligopole transparent, et donc efficace. Je ne demande pas une concurrence de multiples acteurs atomiques, mais accepte l’oligopole à condition qu’il soit concurrentiel comme vous le dites à juste titre : un oligopole n’est pas mauvais en soit, il le devient lorsque les entreprises en question mettent en place un cartel, une entente, et cela, vous pouvez refuser de le voir, mais c’est exactement ce qui se passe dans le marché de la grande distribution. Joseph Stiglitz lui-même (prix nobel d’économie en 2001) décrit ce phénomène oligopolistique dans le secteur de la grande distribution alors, à moins que vous soyez un meilleur économiste que lui, ne me dites pas que je n’y connais rien !
Vous expliquez que je n’ai pas pris en compte le facteur géographique, enfin un argument contre mon article plutôt que contre moi (je ne sais pas ce que je vous ai fais, on se connait ?). Mais monsieur (ou madame), le facteur géographique ne fait que renforcer le fait que l’oligopole soit de forme monopolistique ! Vous parlez de 4 ou 5 distributeurs pour 30 000 habitants, évidemment, cela est ridicule et vous avez raison de le signaler, mais dans les faits, il est généralement vrai que dans une zone de 10km à la ronde, les français ont plusieurs choix de supermarchés qui pratiquent tous les mêmes prix à peu de choses près.
Vous comprendrez que je n’argumente pas trop sur votre comparaison des bénéfices d’une banque et d’un hypermarché, alors que le rôle de l’un est de gérer de l’argent et du capital mobile, alors que l’autre travail sur un capital fixe. Evidemment, les chiffres ne sont pas les mêmes mais cela n’a rien à voir avec le fait que la grande distribution soit rentable ou non.
J’aimerais savoir d’où vous tenez ces chiffres des marges des marques de la grande distribution, et je pourrai alors répondre à cette autre critique qui est facilement fondée sur des chiffres qui peuvent être issus de votre imagination.
A la vue de vos commentaires, je pense que c’est vous qui manquez de culture économique monsieur (ou madame). Je trouve cela déplorable d’attaquer les gens de la sorte, soyez d’accord, pas d’accord, débatons intelligemment, mais casser pour casser, voilà un bien faible coup ! Qui êtes-vous pour juger et mettre des notes aux articles que vous lisez ? Attention aux chevilles...Que la grenouille se souvienne qu’elle ne doit pas trop essayer d’être aussi grosse que le boeuf !
Enfin, je précise, une nouvelle fois, que cette proposition d’enseigne publique que je fais est de l’ordre du théorique, je ne suis pas rêveur et sais que ce genre de projet est quasiment impossible à mettre en oeuvre. Je dis simplement que, en tant que défenseur de la concurrence de marché, cette proposition serait une des meilleures afin de mettre en place une concurrence dans un secteur qui en manque cruellement.
Bien à vous,
Antoineray
Pourquoi un tel commentaire ? Vous pouvez ne pas être d’accord avec moi, critiquer mon article, expliquer votre point de vue. Je vous suis sur le manque de culture économique des français, mais ne me faites pas ce reproche à moi qui étudie la microéconomie, la macroéconomie et les marchés financiers à Sciences Po Paris depuis 3 ans.
On peut débattre, argumenter, ne pas s’entendre. Le débat fait bouger les choses, mais les critiques infondées et non argumentées comme la vôtre ne servent pas à grand chose.
Vous faites fausse route en confondant libéralisme et économie de marché.
L’économie de marché c’est ce que vous décrivez dans votre commentaire, à savoir, la concurrence pour faire baisser les prix.
Le libéralisme c’est laisser le marché s’autoréguler sans intervenir sur celui-ci. Or que se passe-t-il sur un marché de concurrence lorsqu’il n’est pas régulé ? Un acteur commence à devenir un peu plus puissant que les autres, il les rachète les uns après les autres jusqu’à ce qu’il ne reste que 4 ou 5 acteurs formant un oligopole, jusqu’à ce que l’un des acteurs tente de tromper les autres. Alors l’oligopole repart en consurrence pour quelque temps jusqu’à ce que le plus fort mange ses derniers concurrents et se retrouve en situation de monopole, c’est à dire, libre de fixer les prix qu’il désir sur tous les produits qu’il vend, puisqu’il est le seul à les vendre, en situation de monopole.
Alors attention, ne confondons pas tout : oui à l’économie de marché, non au libéralisme trop poussé qui tue le marché.
Effectivement, mais si il était en concurrence, votre supermarché n’aurait pas pu augmenter le prix du pain de cette façon, ce n’est pas une idée fabriquée par les médias, ce sont les bases de l’analyse économique !
Je suis d’accord avec vous sur la majorité du commentaire, mais je ne pense pas que le rôle de l’Etat soit de fixer les prix, mais plutôt de faire pression vers le bas sur ceux-ci.
En ce qui concerne la TVA, je pense que cela joue peu, en effet, l’argent économisé dans l’alimentaire servirait aux loisirs donc la TVA resterait inchangée pour l’Etat.
Je comprends votre commentaire mais je ne comprends pas ce que je dois en tirer...
Enfin un commentaire qui semble avoir compris le fond de mon article !!! Merci !
Exellente idée que celle de ne boycotter qu’une seule enseigne ! Je n’y avais pas pensé mais il est vrai que cela pourrait être efficace...Hélas, sans doute pas à long terme dans la mesure où cela ne traite pas le fond du problème mais une solution à étudier tout de même !
Merci encore pour ce commentaire intelligent !
Exellente idée que celle de l’affichage des prix ! Cela tendrait à une information en temps réel et parfaite, mais cela ne changerait finalement pas grand chose puisque les distributeurs se mettent d’accord sur les prix. Vous gagnerez 2 centimes par ci mais en perdrez 2 par là, finalement, pas de quoi changer de supermarché, cette solution ne s’attaque pas au fond du problème qui n’est pas le manque d’information mais le manque d’acteurs sur le marché
Quelle solution proposez-vous ?
En effet je me suis mal exprimé. Je ne voulais pas parler de subvention mais de financement par l’Etat. C’est à dire faire payer le service vendu moins cher que ce qu’il coûte et financer le surplus par l’impôt. C’est cela la logique d’une entreprise publique et c’est pour cela que l’UE interdit la concurrence d’une entreprise publique sur le privé.
Pour ce qui est de ma proposition, je suis on ne peut plus réaliste et je sais bien qu’elle est irréalisable mais je pense que dans la théorie, ça serait la meilleure chose à faire.
Je ne serais pas capable de comparer les Etats Unis et la France sur le prix de l’alimentaire. Premièrement parce que je suis seul donc, le coup de l’alimentaire n’"est pas trop élevé pour moi, et deuxièmement parce que je reçois de l’argent de France en Euro et que la conversion en dollar m’avantage terriblement ! Mais globalement, on ne peut pas dire que la situation américaine soit beaucoup mieux que la situation française, les gens trouvent aussi la vie cher.
Je vous assure que ces lois du marché parfait sont biens plus utiles et réalistes que ce que l’on pourrait croire.
En ce qui concerne l’UE, elle interdit, comme vous le dites, la concurrence déloyale. Mais c’est exactement ce que nous avons au jour d’aujourd’hui ! Elle interdit aussi la concurrence à coup de subventions et elle a raison de le faire ! Ce que je propose c’est une VRAIE concurrence de la part de l’Etat, sans subventions, donc, une concurrence parfaitement libre et non faussée qui n’est pas en contradiction avec les textes européens.
Vous avez raison, le fonctionnement de l’économique conduit chaque marché à l’oligopole, puis au monopole s’il n’est pas régulé.
Encore une fois, si vous avez lu mon article, dites moi où je parle de nationalisation et de communisme !
Je suis pour une concurrence réelle et non faussée, or, sur ce marché, vous pourrez faire ce que vous voulez, il y aura toujours un manque de concurrence à cause des barrières à l’entrée.
Quelle est votre solution alors pour faire pression vers le bas sur les prix sans concurrence ?
La mienne est d’y mettre un acteur vraiment concurrentiel. Il pourrait être privé mais hélas, je pense que seul le public pourrait nous assurer de vouloir faire une vrai concurrence.
Mais pourquoi répondre sur ce ton là ?! Avez-vous lu dans mon article ne serait-ce qu’une phrase anti entreprise ou anti patron ?! Ce n’est ni mes convictions, ni mon raisonnement.
Je dis ici, et c’est un fait, que la concurrence n’existe pas dans le secteur alimentaire. Vous avez raison lorsque vous dites qu’elle est bonne pour le marché et si vous aviez lu mon article correctement vous constateriez que je le dis dans les mêmes termes que vous !
Ce que je propose, ce n’est pas la fin de la concurrence, ce n’est pas les prix fixés, ce n’est pas anti entreprise, anti concurrenciel ni anti patron. C’est simplement partir d’un constat : la concurrence et bonne et nécessaire pour tous et il n’y en a pas sur le secteur de l’alimentaire. Alors il faut l’apporter puisque, vous le dites vous même, elle fait évoluer le marché. Mais on en peut pas apporter de la concurrence si facilement sur un marché aussi couteux que celui de la grande distribution, alors, l’Etat peut devnenir un acteur du marché. Pas un acteur qui plombe ou fausse le marché par des subventions, mais un acteur qui instaure de la concurrence là où il y a un oligopole.
Cette proposition n’est en aucun cas celle d’un anticapitaliste, anticoncurrence anti tout, bien au contraire !
Est-ce que c’était un commentaire sérieux ?
Vous avez raison, le rôle de l’Etat n’est ni de fixer les prix, ni de vendre ses propres tomates mais d’assurer la concurrence dans un secteur. Alors comment faire quand le droit ne suffit pas, que faire lorsque les barrières à l’entrée du marché sont tellement fortes qu’il est impossible d’apporter plus d’acteurs sur celui-ci ?
Vous parlez du droit européen à juste titre mais je vous rassure, je ne demande pas que l’on se retire de l’Union Européenne, ni que l’Etat fixe les prix façon URSS et je dis bien que cela n’est pas souhaitable pour la société !
Mais je vous précise que ce que le droit européen interdit c’est la concurrence publique subvantionnée qui fausse évidemment la concurrence. Ce que je propose moi, c’est que l’Etat soit un acteur comme les autres, sans aucune subvention mais avec comme seule différence de faire une concurrence réelle.
Enfin, vous terminer pas expliquer que la hausse des prix n’était pas due à l’oligopole mais aux actionnaires qui demandaient plus de bénéfices. Mais c’est exactement cela un oligopole ! L’oligopole peut, lorsqu’il le souhaite, augmenter ses marges, cela serait impossible dans une situation plus concurrencielle
Hélas, cette proposition implique que seule le prix de cet article n’ait augmenté, or l’augmentation est globale et dans toutes les enseigne : la concurrence n’existe pas !
Les pattes sont un bien inférieur : leur élasticité prix fait que plus elles sont cher, plus on en achète en les substituant aux autres produits que l’on ne peut plus s’offrir.
La solution à long terme est de réimplanter la concurrence dans le secteur des supers et hypers
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