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Les commentaires de Cloclo



  • Cloclo 21 novembre 2012 10:38

    « Depuis, il n’y a plus d’ installation dans laquelle on pourrait réaliser des irradiations avec des neutrons rapides. »

    Le réacteur Jules Horowitz est en construction à Cadarache. Il viendra suppléer ce qui manque dans la recherche d’irradiationon à haut flux de neutron.


  • Cloclo 20 novembre 2012 12:39

    @Laurent C :

    Je ne connaissais pas.
    Merci du lien.


  • Cloclo 20 novembre 2012 11:50

    De plus il serait bon de savoir combien il y a d’incident de transport de colis par an, histoire d’avoir un ratiio probant

    Quelqu’un a cette info ?


  • Cloclo 20 novembre 2012 11:47

    Il fallait comprendre :

    un incident de transport de colis...sur 20 à 30 000 transport de colis de ce type par an.


  • Cloclo 20 novembre 2012 11:13

    Question pertinente que l’on pourrait poser dans le domaine de l’industrie chimique.



  • Cloclo 20 novembre 2012 11:12

    Vous m’avez mal compris :

    - Je ne minimise rien.
    - Le fluor (radioactif ou non) n’est pas quelque chose de très bon pour la santé, pas plus que je ne plongerais le doigt dans de la soude caustique. Mais le fluor est un traceur radioactif que l’on utilise en imagerie médicale, donc injecté à un patient.
    - Il existe 20 à 30 000 colis radioactifs de ce type qui circulent en France, essentiellement pour le médical (voir le site de l’ASN pour cela) et non pas 20 à 30 000 incident de colis.
    - la période radioactive est de 2h (c’est pour cela qu’il y a autant de colis qui circule, parceque cela décroit trés rapidement, et les hôpitaux sont constamment alimentés pour avoir les bonnes activités au moment de leurs examens).



  • Cloclo 20 novembre 2012 10:04

    Alors on a retrouvé ce colis radioactif ?

    Avec 1.83 h de période, doit plus rester grand chose comme activité à l’heure actuelle.
    Comme le dit Archibald, un incident parmi d’autres...sur 20 à 30 000 colis de ce type par an !


  • Cloclo 7 novembre 2012 20:42

    Merci de laisser mon libre arbitre là où il se trouve !



  • Cloclo 7 novembre 2012 19:49

    Autant pour moi, je n’ai pas vu la légende avec la petite croix sur les eaux de remontée.

    Mais ma question demeure.


  • Cloclo 7 novembre 2012 19:43

    D’aprés votre carte en lien, je vois que les courant sont ascendant prés des cotes japonaises puis descendant vers les cotes u.s. (différence froid/chaud). Doit-on s’attendre à ce que la pollution plonge en profondeur lorsqu’elle aura atteint les cotes u.s. ?



  • Cloclo 7 novembre 2012 19:39

    A peine je votre article sur les thons que je vois « ....ont peut-être transporté ».

    En suite je lis « Les chercheurs estiment cependant que ce taux de radioactivité ne présente aucun risque pour la santé des consommateurs car les niveaux observés sont en-dessous de la limite de sécurité japonaise et inférieurs aux niveaux d’autres isotopes naturellement présents dans le thon. »

    Puis pour finir : « ont trouvé des taux légèrement plus élevés de césium-134 et césium-137. »

    ...ça veut dire quoi « légérement plus » ? Plus par rapport à quoi ? ce que ne dit nullement l’article.

    Donc, au final, je suis bien avancé pour me faire une opinion sur quoi que ce soit. Non ?







  • Cloclo 7 novembre 2012 19:32

    Moi je ne propose rien, c’est les allemands qui ont fait la simulation.



  • Cloclo 7 novembre 2012 18:42

    L’eau radioactive des réacteurs nucléaire de Fukushima au Japon pourrait atteindre la côte ouest américaine au cours des 5-6 prochaines années, doublant ainsi la radioactivité des eaux côtières des États-Unis, d’après les simulations effectuées par les océanographes allemands.

    Claus Böning, Erik Behrens et ses collègues du Centre Helmholtz pour la recherche océanographique à Kiel utilisé des modèles globaux de circulation océanique pour simuler le mouvement d’un traceur qui a été injecté en continu dans les eaux côtières japonaises pendant plusieurs semaines. Ils ont ensuite modélisé à sa diffusion et à la dilution dans l’océan Pacifique depuis 10 ans.

    « Nous étions bien sûr pas surpris qu’il y ait un effet de mélange, mais nous avons été surpris de la rapidité de la propagation du traceur,« Böning Noël, co-auteur de l’étude, a déclaré environmentalresearchweb. « Dans un an, il aura étalé sur toute la moitié occidentale du Pacifique Nord et dans cinq ans, nous prévoyons qu’il atteindra la côte ouest américaine. »

    Cependant, les points de désossage fait observer que, en raison de mélange et la dilution considérable, le niveau de radioactivité atteint aux États-Unis sera beaucoup plus faible que celle libérée par la centrale de Fukushima. « Les niveaux de radiation qui ont frappé la côte américaine sera faible par rapport aux niveaux publiés par Fukushima », at-il dit. « Mais nous ne pouvons pas estimer avec précision la nature de ces niveaux sera parce que nous ne savons pas avec certitude ce qui a été publié par Fukushima. »

    Provisoirement l’hypothèse d’une valeur de 10 petabecquerel (PBq) pour le césium 137 net (Cs) d’entrée pendant les premières semaines après l’accident de Fukushima, la simulation indique une dilution rapide des valeurs de radioactivité de pointe à environ 10 Bq / m³ pendant les 2 premières années , suivie d’une baisse progressive à 1-2 Bq /m³ dans les prochaines années 4-7. Les niveaux de radioactivité totale de pointe serait alors environ le double des valeurs pré-Fukushima. « Même si cela peut sembler alarmant, ces niveaux restent inférieurs à ceux autorisés pour l’eau potable », a déclaré Böning.

    L’équipe a constaté que l’utilisation de modèles avec des résolutions différentes pour simuler les champs de Foucault a donné des résultats différents.  »Cela montre que les modèles à haute résolution sont nécessaires« , a déclaré Böning.  »Nous n’avons pas modéliser les processus biologiques qui pourraient conduire à l’accumulation de césium 137 dans les zones de forte productivité biologique, et potentiellement affecter les distributions de traceurs verticaux en raison de l’adhésion à des particules d’amortissement ».

    Les chercheurs ont publié leurs travaux dans Environmental Research Letters (ERL) .


    ...libre arbitre !  smiley



  • Cloclo 7 novembre 2012 17:29

    Quand on gratte et pousse la recherche à propos de votre vidéo, on tombe sur ça : lien



  • Cloclo 7 novembre 2012 17:26

    Comprendre ce n’est pas avaler tout cru ce que l’on nous tend. C’est le libre arbitre !

    Merci de me laisser le mien.


  • Cloclo 7 novembre 2012 15:31

    Cet article date de 10 mois avec un doute non avéré sur l’origine de la mort de ces bêtes.


    Depuis, vous n’avez pas un article qui confirme ou infirme les faits...histoire de lever le doute journaliste ?


  • Cloclo 7 novembre 2012 13:56

    Ce silence ? Je suis pas scotché à mon écran...désolé !

    Je comprend dans cette animation (aux belles couleurs) une répartition des eaux de surface (mais en profondeur ?). L’échelle en haut à droite est relative au point où a eu lieu l’accident (mais qu’elle est la relation avec la radioactivité ?) Une autre échelle aurait été mieux pour comprendre ! Non ? 
    Si on regarde sur le net, il y a plein d’animation du même genre, sans explications approfondies. 

    Donc, ce que je ne comprends pas c’est (car je ne suis pas spécialiste en la matière), c’est : combien est-ce dangereux ?  smiley


  • Cloclo 7 novembre 2012 10:13

    Faut être abonné pour lire cet article du Monde !



  • Cloclo 7 novembre 2012 10:09

    Je ne dis pas le contraire. Je veux dire simplement qu’entre une fissure visible à l’oeil nu et une micro cavité il y a un écart. 

    Mais si les spécialiste estiment que cela un impact ou pas, je pense qu’ils sont bien placés pour savoir. Non ?


  • Cloclo 7 novembre 2012 08:40

    Peut-être que la définition de micro-cavité/fissure dans le milieux du nucléaire serait à définir pour comprendre les choses et mieux se rendre compte. Je crois que cela concerne aussi d’autres secteurs du nucléaire. Vous ne pensez pas ?