A défaut de détenir la vérité je vais vous donner un point de vue sur le commerce du shit et autres expédients en banlieue.

L’arrivé progressivement massive de cannabis dans les banlieues date du début des années 80, juste après le choc pétrolier et au commencement de l’opinion que l’on ne résorbera pas le chômage, qu’il est utile pour maintenir les salaires vers le bas, etc...

Il ne fallais pas être sortie de St Cyr pour savoir que c’est là, dans ces concentrations urbaines, que les problèmes allaient se concentré, avec les prémices évidente de la ghettoïsation.

Dans les années 60-70, les usa on délibérément lâché le crack dans les banlieues noir américaine pour casser le mouvement des black panthères, et autres mouvement politique de revendication,

En France, d’après les études sur le cannabis, on sait déjà en fin 70 qu’il a une image positive, vue sous l’angle « détente », c’est l’époque du « cool rasta », inoffensif, non violent, peace and love, etc...

On sait aussi qu’il engendre un affaiblissement de la capacité de concentration, ce qui permet entre autre de « craquer plus vite » dans un interrogatoire, et,

Dans les versions d’époques, qu’il diminue la durée de ce qu’on appel le sommeil paradoxale, la période du sommeil pendant laquelle le cerveau « imprime » sa journée, diminution pouvant allez jusqu’a 80% de durée,

Avec la théorie, pour donner un exemple, que malgré tout le cerveau enregistre au maximum, mais c’est comme si on essayai de remplir le contenu d’une K7 de 3h sur 20 mn, ce qui donne a long terme une cognition difficile, parce que toute la partie remémoration d’acquis est confuse, avec une perte notable dans la capacité langagière,

On sait déjà aussi fin 70 que le cannabis passe par le lait maternel, et n’affecte pas moins le cerveau d’un bébé, enfant ou ados dans la même pièce, avec des conséquences notable voir pérenne sur la construction identitaire, mais aussi les capacités d’une personne a se « mobiliser » mentalement et a soutenir l’effort longue durée par la volonté.

Bref, dans ces années où les effectif de police étaient relativement âgés, le principe que ces gamins qui court vites font rien de bien grave en se gazant la tête voir même que ça arrange les choses pour ceux qui doivent les interpellé en leur courant après, a été souvent a l’origine de quantité de laxisme. On avait l’idée que ça les rendait moins agressif...

En même temps, pour d’autres, là ou fin 70 le système appelé ascenseur social, fonctionnais vraiment, un fils d’ouvrier de banlieue pouvais devenir prof de fac, médecin, juriste, a la force de ces études,

devant la raréfaction du travail consécutive aux crise économique, tous ceux qui sont affaiblie dans leurs aptitudes scolaires, notamment via la complaisance avec la cannabis, deviennent autant de personnes qui ne rivaliserons pas en plein potentiel avec les autres dans les mêmes concours.

Bref, le shit a permis, et permet encore, de saper le mental de certaines générations dans certains endroits, avec comme conséquences pour « se mettre au niveau »

D’appauvrir le contenu pédagogique pour ne pas les lésé dans l’orgueil mais les rendre néanmoins en décalage avec le minima admissible pour passé le concours, et brigué des postes accessible même avec une scolarité « a priori » réussi. Vous savez ces postes que l’on qualifie de clef ou de décisionnel, par définition limité en quantité.

Après et bien on a flatté les orgueils dans des directions de non compétitions avec les autres, on a glorifier par la variét, la consommation via le rasta, le rap entre autres, en donnant des messages de réussite « viril » ou il faut être grand footballeur, chanteur de rap ou acteur/ comique, mais jamais ingénieur, flic, médecin, notaire, etc...

Toutes les années 80 continue sur la même pente, les seuls drogues contre lesquelles ont s’attaques sont dites durs, parce que les crises de manques sont criminogènes au possible, et que c’est avec ça que certains mac « tiennent » leur prostituée dans des états humainement atroce, malgré la pleine époque des messages de préventions anti sida.

Dans les années 90, les fournisseurs étant plus nombreux, les sources d’approvisionnement en cannabis se diversifient davantage, on passe du Maroc principal fournisseur, pays amis de la France, à la hollande, entre autres fournisseurs secondaire. Certain hommes politiques commencent à envisager la légalisation,

Principalement parce que des jeunes exploitants agricoles s’imaginent le pactole qui leur passe sous le nez s’ils deviennent fournisseur d’une SEITA du shit, et c’est là aussi qu’on commence a parler d’argent qui finalement sert « l’étranger ».

Il a fallut les attentats 2001, la psychose du terrorisme pour qu’on commence sérieusement a s’intéresser au financement et aux circulations d’argent illicite hors frontière, car prendre l’argent sur les vices de son ennemi pour mieux le détruire de l’intérieur est une tactique vieille comme le monde,

Seulement entre temps la population des fumeurs de cannabis a mutée, et toutes les couches de populations sont d’occasionnellement a régulièrement fumeuse de canna, et les risques du tarissement d’approvisionnement via des pays lointain potentiellement pro terroriste sont limités par les productions européenne qui au demeurant évite que l’argent partent en dehors de la zone euro.

L’axe de la lutte anti cannabis a donc été orienté contre les flux de cannabis extra européen, qui dans l’idée populaire rembourse leur « dette » envers l’Europe avec l’argent du cannabis, dans les faits ça reste a prouver.

Dans la liste longue des arguments il y a le fait que la France est un pays gros consommateur d’anxiogène et de somnifère, et que beaucoup on transformé leur consommations de médicaments coûteux et légaux en fumette qui leur semble « moins grave » parce que peu informé des réel dégâts sur leurs psyché, quand ils en ont quelque chose a f... de leur psyché.

S’en prendre trop fortement au cannabis reviens pour beaucoup de personne a utilisé un argument bénin pour frapper leur « people », alors que si leurs enfants ne réussissent pas a l’école, c’est aussi parce qu’ils sont souvent exposé a la fumée de canna, et a la fierté d’avoir un gosse qui s’en sort par les études, ils préfèrent celle de dire merde au flic avec un pet a la bouche, endoctriné par une mode pro défonce qui en faite, intellectuellement, les enfonce.

Il va de soi que la violence est souvent due a la perte de son contrôle, mais aussi a l’impossibilité de verbaliser ses émotions, ce qui est aussi une conséquence d’une culture « cannabis »

Et si le sujet vous intéresse, je vous propose d’écrire partout où cela vous est possible qu’il faut protéger les bébés qui chaque jour voient leur cerveau en pleine croissance subir les dégâts du THC, engendrant d’encore plus grande difficulté a lire, écrire, compter, avec par la suite la vie qui va avec un mental ainsi privé de son plein potentiel avant d’avoir tenté son égalité des chances.

Vous verrez par vous même que le sujet des bébés et la cannabis est tabou, souvent censuré, effacé, minimisé, jamais mise en avant médiatiquement, pour la simple et bonne raison que depuis le temps que ça dure, si les banlieue se rendais compte d’a quel point on les a manipuler pour qu’ils en fume au détriment de l’avenir intellectuel et professionnel de leurs famille,

Ils risqueraient réellement de vouloir utiliser leurs droits républicains, d’exiger leur application, d’exiger l’égalité des chances, d’exiger des vies dignes avec des esprits non modifiées.

Et en quelque années, ce n’est pas quelque candidats triés sur le volet que vous verriez postulé dans des postes qui sont presque devenue des charges de noblesse héréditaires tellement ils sont occupée par les mêmes familles.

Alors, pour préserver « l’équilibre » actuel, il est souvent considéré qu’avant que la France ne trouve un boulot pour tous,

Et bien il vaut mieux maintenir certain à la frange du système, l’esprit gazé aux clichés de virilités toujours exclues du monde du travail réel, mais bel et bien virtualisé a coup de clip avec nanas en bikini et mer azurée.

On leur vend un monde mental virtuel pour supporter leurs murs de béton, projeté sur écran de fumée, en direct live sur connexion neuronale, un monde ou plus souvent spectateurs qu’acteur, infantilisé et des responsabilisé, ils n’ont d’autre solutions que d’individualisé ce qu’on leur donne a consommer, être une marque que l’on doit porter pour exister, et passé sa journée a avoir peur de se faire chopper.

Amicalement, barbouse.