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Commentaire de Dominique Larchey-Wendling

sur Le syndrome Tchernobyl à l'épreuve de l'enjeu énergétique et climatique


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Dominique Larchey-Wendling 17 avril 2007 15:24

« On estime qu’on n’a que 50 ans de Uranium accessible si le nucleaire se developpe jusqu’a faire l’equivalent de la production electrique en fossiles (il faut quintupler les 450 centrales actuelles). »

C’est pour la France ça ? Parce que au niveau mondial, sur le bilan énergétique global, l’Uranium c’est 2% et les énergies fossiles 95% donc si on veut du tout nucléaire, il faut diviser les estimations de réserves actuelles (250 ans) par 95/2 = 47.5. Donc ça ne fait plus que 5 ans de réserves ...

Alors il faut se calmer sur le miracle technologique. Pour SPX, je ne comprends pas qu’un concept aussi miraculeux ne fonctionne pas encore ... 6000 tonnes de sodium, c’est quand même beaucoup. Ca n’explose pas à l’air libre le sodium liquide ? Ca fera une explosion de combien de kilotonnes si je mets un pain de C4 sur le circuit du sodium ?

Encore une fois, je ne dis pas que SPX est un projet stupide mais ça ne pourra pas être déployé facilement avec des telles contraintes de sécurité.


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