A demat qui n’arrête de dire des conneries et qui devrait aller se coucher !
L’essence de l’Islam n’est pas et contrairement au judaïsme altéré, belliqueux et encore moins raciste.
L’Islam ne pro^ne pas la haine des autres, ne dit pas qu’une ’’race’’ serait supérieur à d’autres, l’Islam ne prêche pas le mépris des autres... Les textes de la Bible exaltant la « race » juive
Alors que nombre d’écrits du judaïsme comportent une dimension universaliste hautement respectueuse de l’étranger : « N’humilie pas l’étranger, ni l’opprimé, car vous avez été étrangers en Égypte ! N’humilie jamais la veuve ni l’orphelin » (Ex. XXII, 20) ; « N’aie aucune pensée de haine pour ton frère... Tu aimeras ton prochain, il est comme toi »... « Tu aimeras l’étranger qui s’installe chez toi comme toi-même » (Lévitique XIX, 17-18 et 34) ; « Ma maison sera une maison de prière pour tous les peuples » (Isaïe VXI, 7) ; « vous et l’étranger serez égaux devant l’Éternel. Même loi et même droit existeront pour vous et pour l’étranger parmi vous » (Nombres XV, 15-16), alors que le monothéisme intransigeant du judaïsme a pu contribuer dans un certain courant de pensée à promouvoir l’égalité entre les hommes tous créés à l’image de Dieu, à réduire la barbarie de l’Antiquité et à susciter la générosité qui a pu guider les pionniers du socialisme, les sionistes « de la seconde heure » ont occulté délibérément ces données pour ne retenir que celles qui exaltent l’ethnocentrisme et où le non-Juif, qu’il soit étranger ou résidant en Israël, est toujours un gentil, un goy[22]. C’est dans ce sens que nous pourrons dire que le sionisme est un intégrisme ou un fondamentalisme juif.
Découlant directement du mythe de l’Alliance et de la loi raciale instituant le peuple juif comme un peuple différent des autres et séparant les hommes en Juifs et non-Juifs, bien de ces écrits antiques confortent les sionistes dans leur entreprise de retour en terre de Palestine et d’accaparement de cette terre au bénéfice des seuls Juifs.... « Race d’Israël, son serviteur, Enfants de Jacob, ses élus ! » (Chroniques XVI,13).
« C’est un souvenir pour les enfants d’Israël, afin qu’aucun étranger à la race d’Aaron ne s’approche pour offrir du parfum devant l’Éternel » (Nombres XVI, 40)
« Toi, Éternel, Tu les garderas, Tu les préserveras de cette race à jamais » (Ps 12, 8)
« Tu n’auras pas d’autres dieux face à moi » dit Yahvé aux Hébreux (Ex XX, 3). Et à ce dieu exclusif s’adresseront les supplications et prières de son peuple : « Dieu ! si tu voulais massacrer l’infidèle ! Hommes sanguinaires, éloignez-vous de moi... Seigneur, comment ne pas haïr ceux qui te combattent ? Je les hais d’une haine parfaite, ils sont devenus mes propres ennemis (Ps. 139, 19-22). « Par ta fidélité tu extermineras mes ennemis et tu feras périr tous mes adversaires, car je suis ton serviteur » (Ps. 143, 12).
Ainsi parle le Seigneur Dieu : « Aucun étranger, incirconcis de cœur et incirconcis de chair, n’entrera dans mon sanctuaire, aucun étranger qui demeure au milieu des fils d’Israël » (Ez. XLIV, 9).
Le Deutéronome précise le sort qu’il convient de réserver aux idolâtres : « Si ton frère, fils de ta mère, ou ton fils ou ta fille ou la femme que tu serres contre ton cœur, ou ton prochain qui est comme toi-même, vient en cachette te faire cette proposition : « Allons servir d’autres dieux » - ces dieux que ni toi ni ton père vous ne connaissez, parmi les dieux des peuples proches ou lointains qui vous entourent d’un bout à l’autre du pays - tu n’accepteras pas, tu ne l’écouteras pas, tu ne t’attendriras pas sur lui, tu n’auras pas pitié, tu ne le défendras pas ; au contraire, tu dois absolument le tuer. Ta main sera la première pour le mettre à mort, et la main de tout le peuple suivra ; tu le lapideras, et il mourra pour avoir cherché à t’entraîner loin du Seigneur ton Dieu. » (Deut. XIII, 7-11)
Yahvé n’est pas tendre pour les opposants à son peuple : « Je vais punir Amalec de ce qu’il a fait à Israël en s’opposant à lui quand il remontait d’Égypte. Va maintenant, tu battras Amalec et vous vouerez à l’anathème tout ce qui est à lui : tu n’auras pas pitié de lui et tu mettras à mort hommes et femmes, enfançons et nourrissons, bœufs et moutons, chameaux et ânes » (Samuel XV, 2-3). « Verse ta colère sur les peuples qui t’ont offensé » lit-on aussi dans le livre de Jérémie (XVIII, 20)
Et puis, n’est-il pas écrit dans la Torah : « qu’Israël vivra en solitaire et ne se confondra pas avec les nations » (Nombres, XXIII, 94) ?
N’est-il pas défendu à un Juif de boire du vin versé par un non-Juif ou d’épouser une non-Juive ?
N’est-il pas dit que le Juif religieux doit, chaque matin, bénir Dieu de l’avoir créé Juif et non autre ?
N’est-il pas écrit, dans la Halakha, qu’un Juif peut transgresser le Shabbat pour sauver la vie d’un autre Juif, mais non de celle d’un non-Juif ?
N’est-il pas prescrit au Juif pratiquant de prononcer chaque matin les paroles de la prière du Shaharit : « Béni soit l’Éternel qui ne m’a pas fait goy, Béni soit l’Éternel qui ne m’a pas fait femme. Béni soit l’Éternel qui ne m’a pas fait esclave » ?
N’étaient-ils pas dans leur droit ces Hébreux emmenés par Josué lorsque, comme le recommande la Torah, ils ont exterminé les populations de Canaan lors de la conquête de la Terre promise : « Vous chasserez devant vous tous les habitants du pays car c’est à vous que je le donne à titre de possession... Si vous ne dépossédez pas à votre profit tous les habitants, ceux que vous aurez épargnés seront comme des épines dans vos yeux et vous harcèleront sur le territoire que vous occuperez » (Nombres, XXXV, 53-55)
Et dans le psaume 137, n’est-il pas dit : « Fille de Babylone...Heureux qui saisira tes nourrissons pour leur broyer la tête sur le roc » ?
Dans la Bible, on lit aussi : « Lorsque le Seigneur ton Dieu t’aura fait entrer dans le pays et qu’il aura chassé devant toi les nations nombreuses, tu les voueras totalement à l’interdit (Deut. VII, 1-2) « et tu les supprimeras » (Deut. VII, 24).
« Qu’Israël se réjouisse en son Créateur, que les enfants de Zion se réjouissent en leur Roi [...] Qu’ils chantent pour la joie sur leurs couchettes ! Que les louanges élevées vers Dieu ne quittent pas leurs gorges et que les sabres à deux pointes ne quittent pas leurs mains, afin de faire descendre la vengeance dévastatrice sur les nations et le châtiment sur les peuples » (Ps.149). Le grand mystique juif Moshe Luzzatto (1706-1746) intégrera parfaitement ces données : « Dans le monde à venir, affirme-t-il sans ambages, aucune nation n’a de place à l’exception d’Israël. N’est-il pas dit d’ailleurs dans le Lévitique (XVI) que : « le plus saint des peuples, est celui d’Israël » ?
À ce propos, Schattner[23] rapporte une donnée tout à fait caractéristique d’une certaine évolution de l’éthique juive. Alors que dans une version ancienne de la Mishna il est dit : « Qui a détruit une vie a détruit tout un monde et qui a sauvé une vie a sauvé tout un monde », les versions imprimées ultérieurement sont devenues : « Qui a détruit une vie au sein d’Israël a détruit tout un monde et qui a sauvé une vie en Israël a sauvé tout un monde ». Le rabbin Ginburg de la yeshiva du tombeau de Joseph (près de Naplouse), quand il affirme qu’ « une vie juive vaut beaucoup plus qu’une vie non juive », vient confirmer cette sentence dont les sionistes, et notamment les religieux, vont se servir pour justifier nombre de leurs actions répréhensibles.
Si nous parlons du sionisme nous ne méconnaissons pas le fait qu’il s’exprime sous des nuances très diverses. On a pu distinguer notamment le sionisme politique, le sionisme religieux, le sionisme socialiste, le sionisme pragmatique... et puis, bien entendu, le sionisme des Juifs israéliens et celui des Juifs des autres pays. Leurs diverses composantes (socialiste, religieuse et plus particulièrement messianique, libérale, nationaliste, fasciste...) peuvent diverger sur les moyens à mettre en œuvre mais elles sont toutes tributaires du mythe de l’Alliance et de la loi fondant la judéité. Leur objectif commun est à la fois simple et précis : la conquête de la Palestine historique considérée comme terre éternelle du peuple juif.
Le « sol », le « sang » et l’élément scripturaire tels sont les trois piliers fondamentaux du sionisme. Puisés dans l’héritage spirituel du judaïsme - héritage qui se veut exclusif et selon lequel le peuple d’Israël a une vocation universelle et spécifique : celle de la rédemption du genre humain en lui apportant la Vérité et la Justice - un certain nombre de concepts et de comportements particulièrement banals leur sont attachés. Des concepts : ceux de « race juive », de « sang juif », de « pureté du sang » par le non-mélange, de « pureté de lignage » par le non-métissage, d’altérité absolue... ; des comportements : le communautarisme, la séparation d’avec les non-Juifs, la domination sur cette catégorie de personnes dans l’espace territorial de la Terre Promise. Mais ce sont aussi de riches ingrédients politiques. Dans un ethnocentrisme exacerbé, ils vont guider toute l’entreprise sioniste. Qu’il y ait des ’’musulmans qui ont une lecture particulière, voire extrémiste, n’est un secret pour personne...
Le sioniste qui n’hésite pas à crier haut et fort sur les forums vive Israël et sa violence, tu devrais aller te coucher au lieu de dire des âneries sionistes !
Voici l’essence du judaïsme altéré et de sa vitrine politique, le sionisme.
Fondé à la fin du XIXe siècle par l’écrivain et journaliste hongrois Theodor Herzl après la vague d’hostilités antijuives qui avait notamment déferlé en Russie, en Pologne puis en France avec l’affaire Dreyfus, le mouvement sioniste s’est donné pour objectif d’établir un territoire réservé aux Juifs dans la perspective de leur assurer, compte tenu des persécutions dont ils étaient souvent victimes, une sécurité définitive.
Depuis 1922, date à laquelle la Société des Nations confia à la Grande-Bretagne un Mandat sur la Palestine à l’issue de la première guerre mondiale, depuis 1947 surtout, date à laquelle l’ONU voulut y créer deux États, l’un « juif », l’autre « arabe », cette région est le théâtre d’un état de guerre permanent. Quatre guerres meurtrières se sont déclenchées et ont entraîné le déplacement de centaines de milliers de personnes, tandis que se sont perpétrés chaque jour crimes et exactions multiples.
Or un tel conflit avec son intensité dramatiquement croissante avait été prédit par une partie notable et éminente de la communauté juive qui, dès le début du XXe siècle, dénonçait avec force, comme source de désastres futurs, l’émergence en son sein de l’idéologie sioniste.
Le présent texte se propose, d’une part d’analyser les sources judaïques du sionisme généralement méconnues, d’autre part de réunir les éléments essentiels d’ordre historique qu’il convient d’avoir à l’esprit pour approcher les causes de l’affrontement. Il veut traduire aussi les réactions de l’auteur devant le drame quotidien qui se joue là-bas, drame dont les Nations occidentales n’ont pas encore pris la juste mesure.
Et pour finir c’était un florilège des écrits ’’saints’’ qui cautionnent l’immoralité du sionisme....
22/10 14:43 - tester
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28/08 12:29 -
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