bel article mais je ne suis pas tout à fait d’accord avec le conclusion, Il est vrai qu’il est absurde, voire suicidaire, de demander toujours plus de croissance avec toujours moins de ressource.En d’autre terme vouloir une croissance infinie dans un monde aux quantités d’énergies exploitables (transformables) finies.
Mais la solution pourrait éxister si nos scientifiques recevaient la priorité de s’atteler à résoudre le probléme de stockage de l’énergie infinie qui est celle de la réaction thermonucléaire solaire. En effet, le soleil irradie annuellement 1013Q (1Q=1018 BTU) d’énergie solaire. De ce flux fantatisque, seuls quelque 5300 Q sont interceptés aux limites de l’athmosphère terrestre, dont une moitié est réfléchie dans l’espace extérieur.Ce qui reste fantastique à notre échelle car la consomation mondiale d’énergie ne s’élève pas à plus de 0,4 Q par an. D’autre part, pour ce qui est de la dot énergétique terrestre, les meilleures estimations nous donnent une quantité initiale de combustible fossile disponible de 215 Q, desquels 200 Q sont récupérables. Ces réserves ne pourraient donc produire que deux semaines de lumières solaire sur le globe. Si leur épuisement continue à croitre au rythme actuel, ces réserves pourront entretenir l’activité industrielle de l’homme pendant encore quelques décennies, alors que si l’on veut bien songer que le soleil continuera à briller avec pratiquement le même intensité pendant cinq milliard d’années (avant de devenir une étoile géante rouge qui portera la température de la terre à 555°C), il ne fait aucun doute que l’espèce humaine ne vivra pas assez longtemps pour bénéficier de toute cette abondance qu’il lui suffirait d’exploiter si les responsables politiques et financiers le décidaient.