« Je ne suis pas encore dans les esperantophone. »
Oui, mais tes notions ou connaissances d’autres langues peuvent déjà t’aider à comprendre déjà pas mal de mots ? Et quand tu auras appris la prononciation des lettres, ça t’aidera encore plus à comprendre. Vu qu’une lettre = un son, et qu’il y a 28 lettres, ça ne devrait pas te demander beaucoup de temps.
« Cela me donne déjà une première approche. Jusqu’ici, je dois l’avouer, ça me semble un langage sovieto-polono-slovaque. »
Ou plutôt « russo- » que « sovieto- »
Mais c’est normal vu que Zamenhof s’est inspiré des alphabets latino-slaves pour obtenir une langue phonétique. En effet, si tu inverses l’accent circonflexe sur les consonnes, tu obtiens des lettres qui ressemblent étrangement à celles du tchèque et du slovaque. D’ailleurs, lors d’un voyage à Prague, j’avais demandé à une étudiante en médecine (qui connaissait le français mais pas l’espéranto) de me lire un texte en espéranto, et elle l’avait lu parfaitement. Même chose dans un train, une autre année, en Pologne. Là, j’avais demandé, bien qu’elle ne parlait pas le français et moi le polonais, de lire à haute voix un texte en espéranto (elle avait réussi à me comprendre !
, et là, ce fut la même chose.
« Comme je le disais ailleurs, je me sens »timide« (dans ce domaine du moins), mais je me soignerai. Bien sûr, il faut se tutoyer. Je trouve que ce ne serait pas mal d’ajouter cette »obligation« sur Agoravox. »
On peut toujours le suggérer, au moins entre rédacteurs.
« J’ai eu certain pseudo ou nom de la »haute« (que je ne vais pas citer pour ne pas relancer un débat) qui m’ont imposé de ne pas user de mon langage de tous les jours. »
Ha ha ! Figure-toi qu’il y a pas mal d’« égarés »
de ce milieu dans le monde espérantophone, et que les relations se passent bien.
Amike.
Henri