Qui veut sauver le soldat Denis ?
Je suis prêt à témoigner des informations données à D Robert bien facile à manipuler tant il ne vérifie guère ses sources ! Il se dit spécialiste en compensation qu’il n’a jamais compris. Pourtant il a eu une fabuleuse vision avant tout le monde, contre toute la presse à l’époque de la Boite Noire en écoutant Jean De Maillard, Ernest, Bernard dit le deuxième corbeau que Denis a honteusement manipulé. Il voulait de l’argent et faire chanter Clearstream pensant que Euroclear le paierait. Je l’avais encouragé histoire de voir où il irait !
La il pollue maintenant nos résistances et messages de détresse ! De manipulateur il devient manipulé. Il l’a cherché par soif de reconnaissance et de succès en trichant. Il se garde bien d’éclairer où cela pourrait déranger ses amis et se régale à faire enfin la une en cafteur d’acteurs qui ne font que passer dans un spectacle minable où il a eu l’occasion de révéler ce qui se passe dans les coulisses scandaleuses et annonciatrices d’un krach retentissant et inévitable expliqué dans le site récemment mis à jour : http://boom2000.free.fr
• Cleartream n’est pas la banque des banques mais juste un des très gros organe de compensation pour titres dématérialisés qui manque des contrôles nécessaires laissant s’y blanchir bien des turpitudes. • Les comptes dits publiés sont en fait les comptes « référence » officiels de compensation permettant aux participants de s’échanger virtuellement des titres au grand jour • Clearstream est hélas devenue « Banking » avec donc l’autorisation d’avoir des comptes ordinaires qu’on n’a pas à publier sauf enquête de Police. Jamais une telle licence n’aurait du être donnée à un organisme de compensation au service de vendeurs de titres parfois bidon qui ne s’est pas privé parfois d’oublier quelques mouvements ! A²la SG avec Sogenal on avait demandé à ce que les nouveaux détenteurs d’OAT soit répertoriés sur les livres de Cedel sans transfert ni mouvement. Il avait suffit de changer les noms des détenteurs. Il n’y a pas eu de transfert dans la vente de certains OAT à Taiwan devenue brutalement le plus gros détenteur de bons du trésor ! Fâchés contre Balladur (et pour cause) Bank of Taiwan et les investisseurs ont tout vendu lors du voyage en Chine ! Le franc de l’époque s’est effondré ! • Devenue une Banque Clearstream n’avait pas à publier ses comptes ! La SG le fait-elle ? Aimeriez-vous voir la liste de vos comptes sur la place publique ? Mais Clear a émis des garanties bancaires contre de titres déposés par des banques et gelés notamment au nom de Wang Shang Pu en Suisse par exemple, ce qui explique pourquoi ses énormes dépôts gérés par Bruno Wang ex employé de SG Taipei et ami de James Kuo un de mes « loan officer » proche du gang des bambous qui s’est défénestré (sans connaître le montage en Credoc secret que j’avais monté pour Sofrantem et China Shipbuilding), n’ont pas pu bouger ! • Contre ces garanties il a été très facile d’obtenir des prêts immobiliers à remboursement « in fine » dans une opération compensatoire où le système bancaire gagne beaucoup en prêtant le « propre » argent de corrompus qui n’iront jamais se plaindre des taux de change, des marges pratiquées ni du coût du blanchiment ! J’ai dit aux Juges - Dans ce montage la il n’y a pas de transferts ....Chercher les prêts facilement accordés sans garanties apparentes ! Ce qui explique le nombre d’hypothèques sur un même bien, on en a compté jusqu’à 10 pour un ou une ex ministre ! • Clearstream n’a donc rien à voir avec les frégates de Taiwan ! J’ai manipulé D Robert pour qu’il s’attaque à la SG qu’il a pourtant bien écartée de son enquête sans chercher à savoir ce que sa filiale du moment Sofrantem gérée par mon ex ami Pasty pouvait bien faire dans le commerce d’armement. • Plus curieux au moment de l’affaire du sentier il n’a pas réagit quand je lui ai déclaré que D Bouton m’avait lui-même demandé de blanchir les opérations de cavalerie de M Bauton et des ses centres de dialyse et pharmacies « macées » pour des raisons politiques. Quand je lui ai fait lire la déclaration de D Bouton montrant que l’axe primordial de sa stratégie était de développer son réseau de « Private Banking » à l’étranger en achetant le groupe Hambros ( Jersey, Bahamas, Limassol, Luxembourg, Dubai ...) il n’a pas compris qu’il s’agissait de mettre en place dans les paradis fiscaux un circuit de blanchiment pour les détenteurs de rétro-commissions et les nombreux profiteurs de profits financiers en provenance de divers opérations virtuelles( opé de change à terme bidon, stock options, swap, put,calls, spéculation outrancière) Un marché si énorme qu’il fallait une nouvelle organisation. • Suite à cette déclaration de nombreux employés (comme dans le SO l’an dernier) ont suivi cet exemple en provenance ne l’oublions pas d’un ancien responsable du contrôle des stocks options au Ministère des Finances qui est devenu l’un des plus gros détenteurs de stocks options parfois négociées à terme et valeur rétroactive sans danger de se tromper ! On le félicité même pour en faire sa principale rémunération à la quelle ses cadres (nombreux très petits porteurs) collaborent en s’engageant à faire monter les cours par tous les moyens ! • Les commentaires non vérifiés de K Laske et de L Valdigue me rendent oui nerveux comme ils disent à ne pas voir ce que cache Clear Ils parlent sans pudeur d’un revirement auprès du tribunal où je n’ai pas été convié et de l’utilisation non autorisée de mes emails manipulés. Oui j’ai tenté d’expliquer ce que je savais de ce que l’on pouvait faire chez Clear ! Mais de la à figurer dans un film pas pro et manipulateur sur Canal il y avait un pas que je n’ai pas voulu franchir sans revenir sur mes déclarations. J’ai fait condamner en référé Denis qui me fait passer pour un trafiquant d’arme, Canal, Radio France aussi et je n’ai pas admis qu’au lieu de ne pas me faire figurer dans ce film très contestable et « familial » D Robert et Pascal Laurent m’ont flouté en déclarant qu’ils avaient un témoin ancien banquier qui avait peur de témoigner ! Cela en dit long sur les ambitions et les pratiques de ces messieurs que j’aurais du faire condamner pour cela Il n’est pas dit que je ne le fasse pas si le film ressort ! • Ce que dit Serge Raffy à propos de le « légende des rétro-com » comme il dit étrangement alors qu’elles sont devenue un moteur de nos exportations est bien surprenant surtout quand il déclare que Imad Lahood a trouvé le circuit Bin Laden chez la SG dans un rapport classé secret défense mettant Clearstream au cœur du système mais où SG n’opère plus ! Oui j’ai utilisé Cedel pour conserver des titres à compenser Non je n’ai pas dit ni répété que tout est passé par Clearstream pour dispatcher les comm des frégates) comme le dit le rédacteur en chef du Nouvel Obs ! ( il devrait savoir qu’il ne faut pas croire les journaux ni Denis le manipulateur !) C’est plus complexe, réalisé via maintes opérations de change à terme ( la BDF a enquêté sur ces opérations criminelles à Taiwan, sans rien comprendre ) pour finir en dépôts titres via des OAT compensées ! • J’avais connu le financement de mouvements terroristes quand j’étais à la United Arab Bank et que j’avais jeté Al Quds Exhibition qui aidait les Martyrs de la Révolution quand des bombes sautaient en France, T Jean Pierre le raconte dans son livre ... Cela m’avait valu mon rapatriement car j’avais préféré aider les amis de mon Père à la Cofras aux UAE ! • Depuis cet évènement je ne crois plus en cette Banque et depuis Taipei, les bateaux, les avions, les chars les opérations virtuelles j’ai cherché à comprendre pourquoi toutes mes affaires se bloquent un jour ou l’autre .... • J’ai compris ...la où les opérations virtuelles noient le poisson des com et des détournements en fric virtuel non taxé qui supplante l’économie réelle. J’en ai fait un livre qui pointe du doigt le risque de cataclysme inéluctable, pire que Machinations et Guerre des Trois ! L’apocalypse sera financière et c’est pour demain ! • Vendez ! vendez tout ce qui est virtuel et bossez, faites de la valeur ajoutée ! • Très récemment Blair, Al Gore ont déclaré que le cataclysme financier était inéluctable ! Vous êtes prévenu ! Ils ont simplement trouvé une bien curieuse raison, probable certes mais pas aussi proche que le Krach du à la corruption et à la spéculation qui font de l’économie réelle à valeur ajoutée des cibles pour les financiers Ils convertissent les fruits du labeur en produits virtuels qui vont s’évaporer à la prochaine crise toute proche. L’économie n’est pas aussi florissante que Bush le dit La croissance menteuse française va devoir supporter un euro à 1,30 !!!!! La bourse atteint artificiellement des chiffres record pour mieux attirer les gogos ! Attention danger. • Dans Clearstream il y a cela surtout ! Les analystes le savent et se gardent bien d’investir dans du virtuel ! • Si vous éclairez ailleurs vous êtes complices d’un grand Crash : le votre ! Un comble mais bien mérité ! Je suis loin maintenant la où hélas une guerre se prépare, nous la sentons venir tous les jours sur fond de crash boursier ! Après la bourse ce sera l’immobilier de Dubai qui pourrait retourner dans ses sables sauf qu’ils risquent fort d’être contaminés et irradiés !
Lisez des extraits de la grande menace celle que vous devriez raconter car c’est dans l’air de clear et c’est criminel ! http://boom2000.free.fr La bulle de savon dans la bulle de ceux qui ne voient rien I Fonds de placement & spéculation. La seule vraie arme de destruction massive qui menace le monde ! Elle fait planer le risque d’un séisme boursier majeur dont on a déjà perçu les signes annonciateurs. C’ ’est le milliardaire et investisseur américain Warren H Buffett qui vient de tirer la sonnette d’alarme : « Attention, nous sommes confrontés au danger d’une véritable arme de destruction massive ! » Il ne faisait nullement allusion à l’hypothétique bombe nucléaire nord-coréenne, mais à la spéculation internationale que les fonds de placement organisent sur les « produits dérivés », c’est-à-dire non sur les actions de sociétés cotées en Bourse, mais sur des pans de marchés entiers.
II Des marchés jusqu’ici très prévisibles mais la vers le Krach
Depuis le milieu 2005, les marchés ont évolué de façon logique. Les actions orientées à la hausse, en dépit de corrections temporaires habituelles, par les profits des principales entreprises transnationales occidentales à l’extérieur de leurs pays d’origine, comme par l’abondance de liquidités émises par les grandes Banques centrales ; les obligations d’abord sous pression par les relèvements successifs des taux d’intérêt des mêmes Banques centrales, puis en reprise par suite de l’anticipation d’une stabilisation de ces taux ; les matières premières, le pétrole, le gaz naturel, en forte hausse par suite de l’accroissement de la demande asiatique et d’une anticipation de leur pénurie future, comme des tensions géopolitiques au Moyen-Orient, puis corrigeant leurs excès par suite de la fin de la guerre israélo-islamiste (Hezbollah) au Liban. L’or et autres métaux précieux d’abord en forte hausse, puis se repliant dans le sillage des prix du pétrole avec lequel ils sont depuis un certain temps bien plus corrélés qu’avec le dollar. La monnaie américaine, enfin, n’évoluant que dans une bande de fluctuation assez étroite par suite de l’action des Banques centrales chinoise et japonaise agissant constamment pour maintenir leurs monnaies les plus faibles possibles pour en obtenir des gains en termes d’excédents de balance commerciale.
• Mais qui ont atteint des niveaux extrêmes laissant présager pour les marchés d’actions, d’obligations et le dollar de prochaines et fortes corrections à la baisse.
Mais, à un certain point, la crise monétaire internationale sera inévitable. Les Etats-Unis, en particulier, qui consomment plus de 80% des liquidités internationales, se trouveront un jour ou l’autre dans une telle situation de dépendance vis-à-vis de l’extérieur (déjà illustrée par leur nouvelle situation de débiteurs nets) qu’il faudra réformer le Système monétaire international pour éviter la chute du dollar et autres actifs américains. Plus longtemps cette réorganisation sera reportée, plus elle sera douloureuse à opérer.
S’il est évidemment impossible de déterminer quand cette crise arrivera, il est permis de penser qu’elle pourrait intervenir à l’occasion d’une perte de contrôle de l’équilibre géopolitique actuel au Moyen-Orient par les Etats-Unis. III L’escroquerie monétaire mondiale par Eberhard Hamer, professeur à l’institut des classes moyennes de Hanovre La manipulation actuelle des systèmes de la monnaie et des changes constitue le scandale le plus important et aux conséquences les plus marquées de notre époque. Pour la première fois, l’escroquerie monétaire atteint des dimensions mondiales, car elle a lieu sur toute la planète, elle ne peut plus être contrôlée, arrêtée ou empêchée par aucun gouvernement et elle a même lieu de manière formellement légale, conformément à des lois nationales désuètes. Toutefois, il est certain que l’escroquerie monétaire, comme toute autre escroquerie, ne peut pas enrichir à long terme les malfaiteurs par l’appauvrissement de leurs victimes, puisque l’on ne peut abuser d’aucun système monétaire libéral à long terme. IV GRANDES MANOEUVRES POUR DISSIMULER L’EFFONDREMENT ÉCONOMIQUE BRÈVES / 10 OCTOBRE 2006 Dans les semaines précédant les élections législatives aux Etats-Unis, le gouvernement Bush et la Réserve fédérale ont engagé un effort concerté pour dissimuler la situation désastreuse de l’économie américaine, bien qu’elle risque de déclencher une rupture financière globale au lendemain de ces scrutins. Dans ce cadre, on abaisse le prix du pétrole, on prétend que le marché du logement américain subit un simple « refroidissement » et non un krach, et on fait monter les cours boursiers à des niveaux records, tout en présentant des données « manipulées » sur l’emploi, les dépenses de consommation, l’inflation, etc. Le 5 octobre, le président George Bush déclara : « Notre économie est forte. Les salaires augmentent. Les prix de l’énergie baissent, ce qui veut dire que les gens vont avoir de l’argent en poche à épargner, investir ou dépenser. (...) Je suis content des progrès économiques que nous faisons. » Deux jours avant, le vice-président Dick Cheney avait fait une déclaration presque identique. Quant à l’ancien président de la Réserve fédérale, Alan Greenspan, il estime que, dans le secteur du logement, « le pire est passé ». L’évaluation de Lyndon LaRouche est tout autre : « Nous sommes au point où le système financier et monétaire international est condamné, sans appel. Il est entré dans la phase finale d’un processus de désintégration, en dépit de toutes sortes de manipulations, tromperies et mensonges. (...) Le système financier international est basé dans son ensemble sur le dollar, sur l’idée que le dollar représente une certaine valeur, par rapport aux autres monnaies. Si le dollar s’effondre, c’est l’ensemble de l’économie mondiale qui subira un effondrement général. » Par ailleurs, Robert Rubin, l’ancien secrétaire américain aux Finances du président Clinton, a confié au Financial Times, à propos de la hausse record des valeurs boursières : « Eh bien, je pense que le fait que le Dow Jones ait atteint un record n’est pas significatif. Par le passé, les marchés ont été, dans de nombreux cas, de bien mauvais prévisionnistes. On se rappellera que le Dow avait pulvérisé tous les records le 19 octobre 1987, avant que le marché s’effondre de 22 % en une journée. A la fin de 1999 et au début 2000, les marchés ont connu des sommets, puis ce fut la chute. (...) » Encore des ennuis pour les fonds de prise de participation et les hedge funds Selon le Hedge Fund Research, basé à Chicago, plus de 2600 nouveaux hedge funds ont été créés ces deux dernières années, pendant que 1000 ont fermé boutique et que bien d’autres devraient disparaître bientôt en raison d’une vague de consolidation. 11,4 % des fonds actifs début 2005 avaient fermé avant la fin de l’année, soit plus du double de l’année précédente. Au cours du premier semestre de cette année, plus de 300 hedge funds ont cessé leur activité. La dernière débâcle en date est celle de Vega Asset Management, qui comptait parmi les plus grands il y a deux ans encore, avec ses 12 milliards de dollars d’investissements ; entre-temps, il a en perdu 75 %, dont 6 milliards depuis janvier 2006 en raison d’un pari malheureux sur les bons du Trésor américain. Quant à l’Europe, l’édition du 3 octobre du Neue Zuercher Zeitung publiait un article sur « La Hague à l’ombre des sauterelles », citant le ministre néerlandais de l’Economie, Joop Wiyn, qui accusait récemment les fonds de private equity (prise de participation) de « dévorer les sociétés comme des sauterelles ». Ainsi, ces fonds américains ont racheté le géant des médias VNU et s’apprêtent à acquérir le conglomérat industriel Stork et le géant de la vente au détail Anhold, pour ne citer que les plus connus. Dans chacun de ces cas, les fonds ont détourné la réglementation qui oblige à déclarer auprès de l’organisme néerlandais de régulation (AFM) tout achat égal ou supérieur à 5 % du total des actions d’une société. Cette mesure permet à l’entreprise visée de se défendre. Mais les fonds de participation se sont servis de produits dérivés et de « sous-fonds » formellement indépendants pour éviter d’avertir l’AFM avant d’avoir acquis entre 10 et 30 % des parts, laissant la victime pratiquement sans défense. Selon le NZZ, le gouvernement néerlandais a déposé un projet de loi durcissant le respect du seuil de 5 % et permettant aux entreprises visées d’intenter une procédure judiciaire pour se protéger d’une acquisition par un private equity fund. En Allemagne, le Frankfurter Allgemeine Zeitung du 4 octobre a consacré un long article à cette vague d’acquisitions qui annonce bien des cas d’insolvabilité. Pour financer l’acquisition d’une entreprise, les fonds de prise de participation empruntent la somme nécessaire et imputent la dette ainsi contractée à l’entreprise en question. Par conséquent, les analystes s’attendent à une vague de faillites. On estime que les « achats par effet de levier » (LBO) réalisés par ces fonds vont se traduire, au cours des deux années à venir, par quelque 30 milliards d’euros de créances douteuses, dont un quart en Allemagne. Selon JP Morgan, les acquisitions d’entreprise effectuées depuis deux ans en Europe par des private equity funds se montent à 218 milliards d’euros.
17/03 10:59 - patroc
Yo, Denis Robert qui écrit sur Agora !.. Bravo Agora et tout à fait d’accord avec (...)
21/05 14:04 - momo
BONJOUR Je souhaite trouver dans cet espace un nouveau soufle de liberter et de partage (...)
28/03 11:21 - E-fred
04/09 16:49 - JB
La guerre du Bouton aura t elle lieu ? Les censeurs agiront ils encore ? (...)
25/08 18:00 - JbfromUAE
oui je sais tout cela ! C’était Denis Robert quie devait s’en charger ! J’ai (...)
08/05 01:45 - kolmai
bonsoir Joel, Je viens de lire votre article en entier. Merci de l’avoir posté ici (...)
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