NON, cet article n’est pas équilibré. Il est un plaidoyer pour Fidel et je ne peux y souscrire.
Certes, tout n’est pas à rejeter dans cette phase de l’histoire cubaine et, en comparant la situation de Cuba à celle de la plupart de ses voisins, on ne peut accuser Fidel d’être le seul facteur de la pauvreté dans cette île.
Cela ne l’exonère pas de ses nombreuses fautes, en matière économique d’abord ( cf l’exemple agricole sur http://francelatine.over-blog.com/article-2783002.html ) mais aussi en matière institutionnelle, avec un totalitarisme hors d’âge et de propos dans la Caraïbe et une féroce répression de toute dissidence qui ne s’est jamais interrompue.
N’oublions enfin pas tous les coups de pute de l’artiste vis-à-vis de l’Occident, dont mon pays fait partie, comme l’auteur de l’article. Et notamment son soutien aux indépendantistes antillais...
On pourrait poursuivre si cela intéresse quelqu’un.
Bien sûr, Fidel est un maître du XXe siècle et restera longtemps un sujet d’étude. Il est génial et coupable.