« prostitution, marché noir, corruption de la classe dirigeante, boat people, exécution d’aspirants boat people... »
A part ce qui concerne les boat people, et d’autre choses que tu n’as pas mentionné ici, notre monde n’a pas vraiment de leçons à donner à Cuba. Chacun ses tares et nous sommes loin d’en être exempts, car la liste est longue des méfaits de nos « démocraties » (quelle affligeante mascarade bien souvent !) et de notre libéralisme à outrance.
Essaie un peu de changer ta façon de voir les choses, tu comprendras malaparte pour qui « Ceux qui comme [lui] - un type du tiers-monde - ne sont pas pris par la propagande des médias du monde dit libre savent ce que la démocratie américaine veut dire : massacres et mises à sac ».
Tout n’est pas à jeter dans la politique cubaine, loin de là ; pour preuve les conditions de vie des gens, qui, comme l’explique Guillaume, risquent de pâtir sérieusement d’une politique plus libérale. Et ils suffit de considérer le comportement des gens : là-bas ce n’est pas chacun sa merde (pardonnez-moi l’expression).
Il ne faut pas voir tout noir ou tout blanc. Il y a des trucs impardonnables dans ce qu’il se passait, et se passe toujours, à Cuba, mais je me demande lequel du Cubain ou de l’Américain a le plus de raisons d’être fier.
Signé un Français pas non plus toujours très fier de son pays...