« ...et vous savez ce qui est arrivé un soir à un directeur de revue littéraire qui rentrait chez lui ? (Brice Petit) et à un livreur tranquille père de famille qui allait bientôt rentrer chez lui et quigarait sa camionette (Adlen Rouag) il y a des sites sur internet sur ceux là, mais combien de milliers de victimes qui crêvent en silence en-dessous de ce sommet de l’Iceberg ?) »
Comme je ne le savais pas, je me suis informé. A ce que j’ai trouvé sur le web, Brice Petit n’a pas volé ce qui lui arrivé. Le métier de flic est difficile, stressant, et ce type intervient au beau milieu d’une intervention musclée, destinée à maîtriser un ou deux forcenés, et il se permet des commentaires, façon Amnesty, sur les méthodes utilisées... On notera qu’un témoin, citoyen-badaud, a pris fait et cause pour les policiers.
Pour Adlen Rouag, vous me demandez si je sais ce que lui est arrivé, et bien j’ai l’impression que personne ne le sait vraiment, sauf ceux qui - où, quand, pourquoi, comment ? - lui ont causé les blessures dont il est mort. Dire que ce sont des policiers relève du procès d’intention pur et simple, étayé par des conjectures sujettes à des interprétations variées.
Enfin, Yannick, facteur, a, manifestement, surgi au milieu d’un dispositif policier important et, peut-être - par son refus d’obempérer - fait foirer une opération d’une certaine envergure, vu le nombre d’agents en civil engagés. Je ne saurais en dire plus sur la base du lien que vous fournissez, si ce n’est que qui n’entend qu’une cloche n’entend qu’un son.
Ces trois exemples sont donc loin d’emporter la conviction et plus loin encore de prouver quoi que ce soit.