Bonjour Michel,
Voilà un article comme je les aime. Un article dans lequel je suis impliqué à 100% en ayant joué un rôle pendant et par ma carrière dans l’informatique.
Depuis toujours, je me suis bien rendu compte étant dans le service interne d’une entreprise informatique que j’allais casser d’une manière ou d’une autre des emplois pour en recréer d’autres (peut-être) ailleurs.
On appelle cela le progrès. Et qu’on ne s’avise pas à aller contre. Impliqué et imbriqué dans le processus, j’ai fait partie intégrante d’une « ignominie » latente comme d’autres.
J’ai été payé « pour ». Même ce qui tournait autour d’« elle » a subit des contrecoups. Et cela continue encore et encore.
Les encodeurs ont disparu, les opérateurs se sont effacés progressivement, les programmeurs n’ont plus droit de cité sans une connaissance annexe plus spécifique... bientôt les robots qui feront ce qu’on reste faire aujourd’hui. Où sera la place de l’homme, alors ? Au soleil, à sucer un pastis ou une limonade ?
Le « low-cost » parachève le travail.
Le pouvoir transite par l’informatique comme outil indispensable. Il suffit de voir ce qui se passe quand la « bécane » tombe en panne pour s’en convaincre. Le virtuel est devenu la force de demain. Certains en ont les véritables clés à ce pouvoir. Je n’y reviens pas tu les as cités. Les acteurs du « drame » programmé (tiens, un mot de circonstance) sont connus.
Les « Temps modernes » de Charlot tuent ses utilisateurs. C’était une des étapes.
Merci, pour l’article, cela m’a défoulé.
L’enfoiré conscient,