Je trouve cet article fort intéressant mais si le sujet m’intéresse c’est que je suis déjà convaincu expérience personnelle que la « vie-après-la-vie » est une réalité.
L’expérience en ce domaine étant incommunicable voire indiscible, cette intime certitude n’est malheureusement qu’une pure question de foi, par nature improuvable par des méthodes scientifiques.
Pour ceux qui n’ont pas cette foi, à quoi sert-il de débattre de cette hypothèse puisqu’il en refusent même l’idée afin de mieux pouvoir la réfuter ?
Jésus aurait dit :« Tu ne me chercherais pas si tu ne m’avais déjà trouvé ! » Bien qu’extraite des Evangiles, c’est une sentence qui ne s’applique pas seulement à la chrétienté mais à tout chercheur spirituel.
Ainsi, l’âme existe-t-elle ?
Car en fin de compte, tout peut se résumer à la seule question qui vaille : admette ou non l’existence d’entités spirituelles indépendantes du monde matériel. Et notre science médicale occidentale n’a jamais pu prouver autre chose que la matérialité des causes à laquelle elle rattache les maladies, l’état de santé, etc. Même l’amour pour elle n’est qu’une question d’hormones et de chimie. La sympathie ou l’antipathie ne sont-elles vraiment que les effets d’odeurs particulières ?...
Les molécules chimiques émises par nos glandes sont certes des agents importants de transmission d’information aux organes. Mais quelqu’un s’est-il jamais demandé comment et par quel mystère la production de telles molécules se déclanche dans nos glandes ?... Sont-ce les molécules qui produisent l’émotion ou l’émotion qui déclanche la production de molécules ? L’intuition est-elle aussi une illusion ? La rationalité matérialiste est-elle la seule vérité admissible ?
La pensée n’est-elle que le produit électrique de réactions chimiques dans le cerveau, ou ce dernier est-il au contraire un extraordinaire émetteur-récepteur captant le génie dans un flux cosmique ?... Pour ma part, je préfère croire à cette dernière hypothèse. En toute irrationalité, mais simplement pour des raisons esthétiques : parce qu’elle est la plus simple et la plus belle, et en conséquence la plus probable.
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