Pour MJ.
Nous parlon du bilan provisoire du conflit israelo-libanais.
Le sujet est bien choisi.
le bilan est provisoire, comme on le rapelle souvent dans toutes les guerres, nous avons un bilan compté aprés celles-ci, sous toute réserve de l’exactitude des chiffres annoncés par les parties adverses.
Or, vous le savez mieux que moi,les médias se font le porte parole des gouvernants, suivant le camp qu’on est, on modifie ,on réduit ou on emplifie les chiffres.
Nous nous basons sur ce qui est annoncé par la presse et les médias.
Vous savez comme moi, qu’une presse n’est jamais objective.
Toujours partisane. Comme nous le sommes tous sur ce blog.
En conclusion, nous ne saurons jamais la vérité.
Il nous appartiendra d’en tirer soit-même sa propre conclusion et d’en faire son bilan provisoire.
Les exemples cités dans votre article, sont quelques éléments tirés d’un ensemble plus vaste.
De ce détail ont ne peut pas faire de généralité.
le contexte est plus vaste et plus dramatique que l’on croit.
De ce que disait mon ami libanis sur place, n’a rien à voir à ce qu’on dit dans la presse. C’est plus cru, plus dure et peut visible médiatiquement. Il y a une CENSURE.
Des deux cotés des belligérants.
Seuls verront probablement la réalité des faits les militaires qui se rendront sur place, lors de la mise en place de la FINUL.
Eux-seuls pourront voir, mais ne diront jamais rien « SECRET DEFENSE ». Un envoyé en mission à l’extérieur n’a jamais le droit de divulguer quelque infos que ce soit, qui pourrait mettre en péril sa sécurité, l’honneur de l’armée, et ternir son image de marque. C’est pour cela que l’on apelle « LA GRANDE MUETTE »
Il est passable du Conseil de Guerre.
Un militaire qui pourrait savoir ou compter ce qu’il a vu, doit en référer à ses supérieuers hiérarchiques, ne conserver aucun écrit comprométant et ne jamais en divulguer le contenu.
En conséquence, le hezbollah de ces principes élémentaires s’en sert.
Un bilan incertain et inconnu dans la réalité des faits.
On peut se faire une idée, simplement.