@gem
« Pour qu’un prestataire de service, quelqu’il soit, en fasse le maximum, il faut que ça soit son intérêt, il faut qu’il court le risque soit de disparaitre, soit d’être remplacé s’il foire. »
C’est une idéologie. Avec ce raisonnement, l’armée, la police, etc..., ne peuvent pas fonctionner. Je n’ai pourtant pas entendu les libéraux français sur ces sujets. Les américains, oui. :)
« A propos de vos chiffres, qu’est-ce que vous préférez : un organisme qui ne vous coute »que« 3,5%, mais qui en plus vous en fait perdre entre 1% et 1,5% (le déficit annuel) »
Attention, amalgame ! Le déficit n’est pas lié aux frais de gestion, mais à une politique de santé. Ce serait le même avec un assureur.
« qui vous prend le chou en permanence... »
Personnellement, j’ai eu beaucoup plus de démêlés avec des assureurs qu’avec la sécu.
« Il ne me semble pas que l’argumentation de l’article se résume à »l’intérêt pour les riches de se faire assurer ailleurs« . C’est votre lecture, via votre prisme et vos filtres personnels »
Il est normal que des opinions diverses s’expriment ici. C’est plutôt sain.
« Je vois d’abord l’intérêt de diffuser une information assez mal connue. »
Je ne peux qu’approuver.
« Nationaliser les molécules utiles. Pourquoi se limiter aux molécules ? pourquoi pas la bouffe (encore plus indispensable, ça), les champs et les usines ? Ca, c’est la panacée. Et ça marche bien, on a testé avec succès en URSS, en Chine, un peu partout... »
En fait, c’est déjà le cas sur toute la planète, puisque les molécules tombent assez rapidement dans le domaine public. « Curieusement », cette nationalisation est le meilleur moyen de faire baisser les prix, puisque la fabrication devient ensuite concurrentielle par le biais des génériques. Mais vous n’avez pas de « prisme et filtres personnels », n’est-ce pas ?